«A aucun moment, j’ai eu le sentiment de faire face à une machine invincible, explique celui qui a courbé l’échine trois fois (Servette et YB). A chaque fois, nous étions supérieurs dans le jeu, au point même qu’en 2009, les Valaisans s’engueulaient et le public restait timoré.» Une dernière finale qui n’aurait pas dû échapper à des Young Boys menant rapidement 2-0. Et pourtant....
alors là il faudrait qu'il développe un peu ses arguments le carlos...
ils sont pas invaincibles
ont a toujours été supérieurs dans le jeu
le publique était à c****
on menait 2 à 0
les mecs étaient perdu il s'engueulaient sur le terrain...
mais alors....




comme quoi le talent ne suffis pas il faut un peu d'esprit sportif d'intelligeance et de répartie pour faire une grande carrière à l'échelle du talent qu'a probablement l'ami varella...
