«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
La malédiction de Ramsey fait une nouvelle victime
La série macabre du milieu de terrain gallois se poursuit: à chaque fois qu'il marque, une personnalité meurt.
Aucune personnalité n'est à l'abri. C'est désormais une règle à laquelle aucune d'elles ne peut échapper: quand Aaron Ramsey fait trembler les filets, une personne célèbre meurt. La dernière en date, David Bowie, s'est éteinte dimanche à 69 ans après 18 mois de combat contre le cancer.
La veille de la disparition du chanteur, le Gallois, auteur de quatre buts cette saison, a marqué lors du succès d'Arsenal contre Sunderland (3-1) au troisième tour de la FA Cup.
Paul Walker, Whitney Houston et Robin Williams
Mais David Bowie n'est que la dernière victime de cette malédiction, qui a commencé il y a cinq ans. Les premiers touchés par la série noire en cours ont été Oussama Ben Laden, Steve Jobs et Mouammar Kadhafi, tous décédés en 2011, au lendemain d'un but marqué par Ramsey. Et là, la statistique fait froid dans le dos puisque le milieu de terrain a marqué trois fois au total durant l'année en question.
Le 11 février 2012, Ramsey avait trouvé le chemin des filets contre Sunderland, et le lendemain, Whitney Houston a été trouvée sans vie dans son appartement après une overdose. Le 17 mai 2013, le décès du dictateur argentin Jorge Videla survient à peine 24 heures après un but du milieu de terrain de 25 ans contre Wigan.
Le 30 novembre 2013, son but face à Cardiff condamne l'acteur Paul Walker, victime d'un accident de la route le jour suivant. L'année d'après, c'est Robin Williams qui disparaît. En effet, l'acteur s'est suicidé le 11 août, au lendemain d'un but marqué par Ramsey contre Manchester City. (20 minutes)
« Les joueurs qui jouent pour l’argent ne s’impliqueront jamais autant que ceux qui jouent pour l’amour du jeux »The English Games
«Dites à ces trous du cul qu'j'continue d'chanter»
Le Français revient plus en forme que jamais si l'on en croit les paroles de «Toujours debout», 1er extrait de son disque à paraître au printemps 2016.
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"Marignan" devient mercredi officiellement l'hymne valaisan. Ainsi en a voulu le gouvernement, sous l'impulsion de son président Jacques Melly. Les hymnes cantonaux sont souvent plus populaires que le cantique suisse.
Le public est invité sur la place de la Planta à Sion dès 18h00. Au programme musique, allocutions et signature de l'acte officialisant "Marignan" comme hymne valaisan ou "Walliserhymne".
La marche a été composée en 1939 par le musicien Jean Daetwyler pour le cinquantenaire de la Fédération de musique du Valais central. Le Bâlois, décédé à Sierre en 1994, a voulu marquer son attachement à son canton d'adoption en incluant dans "Marignan" la mélodie du cantique valaisan "Notre Valais".
Ce chant, composé en 1890 par Ferdinand Otto Wolf sur un texte de Leo Luzian von Roten, a toujours été considéré comme l'hymne valaisan. En officialisant "Marignan", le Conseil d'Etat allie donc texte et forme orchestrale.
Durant le bicentenaire
C'est en 2015, durant les festivités du bicentenaire de l'entrée du Valais dans Confédération, qu'a germé l'idée d'officialiser l'hymne cantonal, a indiqué à l'ats Jacques Melly. Le président du gouvernement souligne qu'il s'agit d'une reconnaissance des valeurs du canton, sans volonté de fermeture à l'autre.
La démarche valaisanne n'étonne pas Lukas Niederberger, directeur de la Société suisse d'utilité publique (SSUP) qui a organisé le concours du nouvel hymne suisse: "Le régionalisme est une contre-dynamique à la globalisation. C'est un processus normal et positif", estime-t-il.
"Ceux qui ont une identité régionale forte, qui ne se base pas sur un nationalisme négatif, peuvent s'ingérer sans peur dans un réseau plus grand", poursuit le directeur de la SSUP.
Pas seulement en Valais
Le Valais n'est pas le seul à revendiquer un hymne. Les Genevois ont leur "Cé qu'è lainô" et les Jurassiens la "Rauracienne", pour ne citer qu'eux.
"Souvent, les hymnes cantonaux sont plus populaires que l'hymne suisse. La population en connaît mieux les paroles et en est plus fière", souligne Lukas Niederberger.
(ats / 27.04.2016 14h01)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein