Rocky Patterson Jr. a écrit :Heinz Hermann et son staff ont été remerciés avec effet immédiat.
et il y a qui dans le staff d'Heinz Hermann à Vaduz...????
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j'en rêve tout éveillé....
CC cherche un mec qui a des couilles...ben là y en a un qui en a une belle paire...
un duo chassot, lehmann sur le banc, avec joa pinto au poste de chef recruteur et directeur sportif...je pense que ça pourrait faire très très mal...surtout dans le couloir menant aux vestiaires...
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
Rocky Patterson Jr. a écrit :Heinz Hermann et son staff ont été remerciés avec effet immédiat.
et il y a qui dans le staff d'Heinz Hermann à Vaduz...????
STEPHAN LEHMANN
j'en rêve tout éveillé....
CC cherche un mec qui a des couilles...ben là y en a un qui en a une belle paire...
un duo chassot, lehmann sur le banc, avec joa pinto au poste de chef recruteur et directeur sportif...je pense que ça pourrait faire très très mal...surtout dans le couloir menant aux vestiaires...
Alors là, je te rejoins complètement! Je pense que c'est le moment ou jamais d'appeler celui qui, excusez du peu, était présent pour le moitié des titres conquis par le FC Sion, qui a toujours tout donné sur le terrain, qui montrait une rage de vaincre à nul autre pareil, qui avait une p***** de grande gueule, un charisme hors du commun et qui était idôlatré par le public!
200% pour un retour de notre Stephan Lehmann au sein du staff!
Je ne vois pas en quoi Lehmann et Hermann pourraient apporter quoi que ce soit dans cette équipe. Ca sert à rien de chercher quelqu'un qui à des couilles (on nous sort la même rengaine à chaque changement d'entraîneur) ou quelqu'un plus comme ci, ou plus comme ça! Il n'y a pas de solution miracle pour cette équipe ou bien si une... Tout changer (ou presque) des supporters à la direction! C'est là mon avis!
Ils sont un peu trop dans l’euphorie dans ce club. Tu perds un match et tu as l’impression que tu es dernier du championnat. Puis tu en enchaînes deux bons et on te parle déjà de Ligue des champions. . " Vincent Rüfli, 12.10.2016"
« Regarder l'avenir dans un rétroviseur, c'est entretenir un miroir aux alouettes et faire un combat d'arrière-garde pour préserver des rentes de situation. Autant, dès lors, s'accommoder des réformes en marche »
mad max a écrit :bien sur ta vision est juste. Mais la réalité du sport actuel n'est plus celle là et c'est bien le problème.
j'étais aussi le premier à dire qu'il fallait laisser aller Uli jusqu'à Noel et à ce moment sortir les pommes pourries du pannier et finir la saison avec le solde plus deux éléments complémentaires.
C'est pas 6 mois qu'il fallait laisser à Uli, mais minimum 3 ans ...
Rocky Patterson Jr. a écrit :Heinz Hermann et son staff ont été remerciés avec effet immédiat.
et il y a qui dans le staff d'Heinz Hermann à Vaduz...????
STEPHAN LEHMANN
j'en rêve tout éveillé....
CC cherche un mec qui a des couilles...ben là y en a un qui en a une belle paire...
un duo chassot, lehmann sur le banc, avec joa pinto au poste de chef recruteur et directeur sportif...je pense que ça pourrait faire très très mal...surtout dans le couloir menant aux vestiaires...
Alors là, je te rejoins complètement! Je pense que c'est le moment ou jamais d'appeler celui qui, excusez du peu, était présent pour le moitié des titres conquis par le FC Sion, qui a toujours tout donné sur le terrain, qui montrait une rage de vaincre à nul autre pareil, qui avait une p***** de grande gueule, un charisme hors du commun et qui était idôlatré par le public!
200% pour un retour de notre Stephan Lehmann au sein du staff!
Ca serait fantastique ... Rien que de penser au gradin nord scandant son nom comme au bon vieux temps, ça me fout les frissons
FOOTBALL. Les coaches de Super League interrogés par «Blick».
Le Temps, Samedi 8 novembre 2008
Courroucé par les mauvais résultats de son équipe et les méthodes peu efficaces de l'entraîneur allemand Uli Stielike, Christian Constantin, président omnipotent du FC Sion, s'est autoproclamé entraîneur de la 1re équipe en début de semaine. Tollé général dans le landerneau, que le Blick de vendredi a relayé en interrogeant les coaches (diplômés) des autres clubs de Super League. Morceaux choisis.
Rolf Fringer (FC Lucerne): «Ça ressemble à du music-hall et, pour moi, à une gifle en plein visage. Les coaches ne doivent pas s'inquiéter d'une telle concurrence. Le seul qui peut se faire du souci, c'est le cirque Knie!»
Christian Gross (FC Bâle): «Ce que j'en pense? Rien, absolument rien. Le métier d'entraîneur est complexe. Constantin devrait se faire la main dans les ligues inférieures ou chez les espoirs. De toute manière, le nombre de coaches qu'il a utilisés ces dernières années ne parle guère en faveur d'un management habile.»
Bernard Challandes (FC Zurich): «Pour moi, un entraîneur sans diplôme n'existe pas. Je ne m'intéresse nullement au partage des responsabilités, à Sion, entre président, coach et directeur sportif. En revanche, il est clair que le club doit engager un entraîneur titulaire d'une licence UEFA.»
Ryszard Komornicki (FC Aarau): «Cette affaire dessert le football et ridiculise notre profession. Je pense que la Fédération suisse devrait intervenir.»
«Ce n'est pas sérieux»
Nestor Clausen (Neuchâtel Xamax): «Ce n'est vraiment pas mon problème, mais je trouve anormal qu'un homme puisse prendre place aussi facilement sur le banc de touche. Le seul aspect positif, c'est que désormais, il ne pourra plus rejeter la faute sur personne.»
Vladimir Petkovic (Young Boys): «Il s'agit d'une question de respect. Le savoir d'un entraîneur ne tombe pas du ciel.»
Marco Schällibaum (AC Bellinzone): «Je savais Constantin capable de beaucoup de choses. Aujourd'hui, c'est sûr, le voici capable de tout! C'est un affront envers l'ensemble de la corporation. Je crois que, ce samedi, la Suisse entière va nous tenir les pouces lors de notre match contre Sion.»
Hanspeter Latour (Grasshopper): «Depuis des années, je me suis promis de ne plus rien dire sur les autres clubs, à moins que cela soit positif. Or, cette histoire Constantin est négative.»
Ottmar Hitzfeld (sélectionneur national, le nouveau mentor du FC Vaduz, Pierre Littbarski, étant injoignable): «L'Association suisse de foot doit protéger le métier d'entraîneur. Il y a des licences pour cela. Je n'analyse pas l'action menée par Christian Constantin comme quelque chose de sérieux. Elle m'apparaît transitoire.»
[Le Temps 2008]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Indépendamment du fait que ce soit Constantin ou pas Constantin, notre FC Sion ou pas notre club, je dois dire que cette obligation d'avoir une licence pour entraîner me fait bien rire.
Le football, on le sent ou on le sent pas. La psychologie du vestiaire, on l'a où on l'a pas. La capacité à faire passer ses idées, on l'a ou on l'a pas.
Est-ce que tout les patrons de boîtes florissantes sont des universitaires diplômés ? Non, et c'est là que réside la beauté du geste, l'enivrement de la réussite. Est-ce que l'on va demander aux joueurs d'avoir un diplôme de footballeur pour pouvoir jouer ?
Tiens, est-ce que M. Debonnaire, responsable des licences à l'ASF, est titulaire d'une licence universitaire ?
Le fou du SMS a écrit :
Tiens, est-ce que M. Debonnaire, responsable des licences à l'ASF, est titulaire d'une licence universitaire ?
Pour ta gouverne, notre cher Yves, théoricien devant l'éternel une semaine sur deux sur TSR2, est maître d'enseignement à l'Unil... Ce qui n'est pas le cas de tout les détenteurs d'un Doctorat ès Sciences du Foot.
Les Valaisans chassent ensemble mais se bouffent entre eux.
Est-ce que des personnes étaient présentes hier à Collombey afin de discuter avec des membres du staff et d'avoir l'avis des joueurs présents hier (dont Goran qui pourrait partir)??
« J'ai claqué beaucoup d'argent dans l'alcool, les filles et les voitures de sport - le reste, je l'ai gaspillé. » George Best
Uli Stielike (54) war ein Weltstar. Jetzt ist der deutsche Europameister stressbedingt krankgeschrieben. Dennoch will er seine Arbeit als Trainer von Sion wieder aufnehmen – als wäre nichts geschehen. Ein Augenschein im Wallis.
Bei Kräften? Am 8. Dezember lässt der Arzt Stielike wieder zur Arbeit.
Zwei West-Highland-Terrier tollen herum. Walliser Schnee ist eben nicht bloss für Kinder ein beliebtes Spielzeug. Auch die beiden Hunde, Marke Black&White-Whisky, mögen ihn. Vielleicht, weil beide weiss sind.
Doris und Uli Stielike geniessen einen der über 300 Sonnentage im Wallis. In Sion scheint die Sonne öfters als im Tessin. Und es fällt weniger Regen als in St. Tropez. «Wir können jetzt machen, wozu wir nie Zeit hatten: spazieren gehen und die wunderbare Gegend geniessen», sagt Stielike. Die perfekte Idylle. Auf den ersten Blick.
Dahinter jedoch entfaltet sich ein kleines menschliches Drama. Verglichen mit dem, was die Stielikes Anfang Jahr erleben mussten, ist das, was in Sion derzeit abläuft, allerdings eine Bagatelle. Damals verloren die Stielikes ihren zweiten Sohn Michael. In der Nacht auf den 1. Februar verlor der an einer Lungenfibrose leidende 23-Jährige den Wettlauf gegen die Zeit um eine Spenderlunge. «Wenn das Kind früher gehen muss als die Eltern, kann auch die Zeit die Wunden nicht heilen», sagte Stielike im Sommer zum Tod seines Sohnes, kurz nachdem er für drei Jahre als Trainer des FC Sion unterschrieben hatte.
Zu allem kam am 3. November, nach einer längeren sportlichen Durststrecke, das Aus für Stielike. Als ihm CC in seinem Büro eröffnete, er, der Präsident, würde fortan das Team führen und die Aufstellung machen, stand Stielike auf, gab CC die Hand und ging. Davon ausgehend, dass es das gewesen sei in Sion.
Denkbar war das, zumal der Präsident in den welschen Medien noch einen draufsetzte und erklärte: «Ich habe ihn anderntags wieder nach Hause geschickt, weil er in einem verwahrlosten Zustand erschienen war und einen unangenehmen Geruch verbreitet hatte.»
Und jetzt soll das alles vergessen sein? «Es ist unmöglich, sich in solche Dinge zu flüchten, wenn man keinen anderen Ausweg findet», sagt Stielike zu den haltlosen Verwahrlosungsvorwürfen von CC. «Ich war an diesem Tag beim Arzt und beim Anwalt, habe also genug Zeugen, die diese Behauptung widerlegen können.»
Doch warum um Himmels Willen will sich ein Europameister, Vize-Weltmeister und je dreifacher Champion mit Gladbach und Real Madrid das antun, wieder unter einem ehemaligen mittelmässigen NLB-Goalie zu arbeiten, der ihn derart zur Schnecke gemacht hat? Auf den Punkt gebracht kann man sagen: vom Weltstar zu Uli, dem Knecht.
Stielike sagt: «Sehen Sie: Wenn ich Umfragen lese, fallen diese zu siebzig, achtzig Prozent zu meinen Gunsten aus. Innerhalb der Mannschaft habe ich nie Probleme gehabt. Und aus Spielerkreisen habe ich erfahren, dass die Jungs die Zeit unter mir sehr genossen haben. Also kann ich doch problemlos wieder dort anknüpfen, wo ich aufgehört habe.»
Gestern nun hat der FC Sion von Stielikes Anwalt Post erhalten. Nachdem der Arzt grünes Licht für eine Arbeits-Wiederaufnahme am 8. Dezember gegeben hat, will Stielike wissen, welche Vorstellungen der Verein hat. CC lässt sich noch nicht in die Karten blicken: «Schauen wir mal, wie es Uli dann geht.»
Stielikes Comeback – es wäre eine weitere unglaubliche Episode in der unendlichen und schmierigen Sion-Soap.
