Posté : 12.09.2005 13:25
Tu peux même ouvrir un sujet sur les moines tibétien du pôle nord que je te sortirai une fille!
C'est une joueuse qui a joué à l'US open quand même
C'est une joueuse qui a joué à l'US open quand même
???Bastoon1 a écrit :Mais où est donc passé Patty Schnyder ???
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Federer sera tête de série N°2, Wawrinka N°3
Mis à jour le 20.08.14
Roger Federer, finaliste à Toronto et vainqueur à Cincinnati, est tête de série N°2, devant Stanislas Wawrinka. Novak Djokovic sera N°1.
Roger Federer (Photo: Keystone)
Le Serbe Novak Djokovic est la tête de série N°1 de l’US Open, quatrième tournoi du Grand Chelem de l’année qui débute le 25 août, ont annoncé les organisateurs. Le N°1 mondial reste sur deux éliminations consécutives en 8e de finale (Toronto, Cincinnati).
Le Bâlois Roger Federer, finaliste à Toronto et vainqueur à Cincinnati, est tête de série N.2, devant le Vaudois Stanislas Wawrinka. Le tableau masculin est privé du double vainqueur sortant, l’Espagnol Rafael Nadal, touché à un poignet.
L’Argentin Juan Martin del Potro, vainqueur de l’US Open 2009 et 13e mondial, est également absent, tout comme l’Ukrainien Alexandr Dolgopolov, 23e au classement ATP, et l’Allemand Tommy Haas, 34e.
L’US Open, comme l’Open d’Australie et Roland-Garros, suit le classement ATP pour attribuer le statut de tête de série. Seul Wimbledon procède à des ajustements avec le classement ATP pour définir ses têtes de série. Le tirage au sort du tableau masculin aura lieu jeudi à 12h00 locales (18h00 suisses).
- Eurosport.fr -Tennis - US Open
Et si Federer redevenait numéro un mondial ?
Qui l'eut cru? Roger Federer s'est mis en position de briguer à nouveau la première place mondiale d'ici la fin de la saison. Mais cela passera probablement par une victoire à New York.
Une telle interrogation, il y a quelques mois encore, aurait prêté à rire. Il y a un an, à la même époque, Roger Federer avait déjà bien entamé la traversée de la période la plus turbulente de son voyage au long cours sur le circuit. Sa défaite au deuxième tour de Wimbledon contre Sergiy Stakhovsky l'avait éjecté du podium du classement ATP pour la première fois depuis dix ans. Le début d'une glissade dont l'inexorabilité n'échappait à personne, face à l'enchaînement de contre-performances et à l'accentuation de ce qui s'apparentait alors comme un déclin définitif. Federer était sur une rivière sans retour, embarqué dans un pays inconnu, d'où l'on ne revient jamais.
Huit finales avant fin août, c'est déjà plus qu'en 2009, 2011 ou 2013
Descendu jusqu'à la huitième place en début d'année (il occupait encore ce rang durant la première quinzaine de mars), il semblait aussi à des années-lumière d'un possible retour au pouvoir. Au plus fort de sa débâcle, à la fin de l'été 2013, il y eut même quelques esprits forts pour suggérer que la retraite définitive constituerait désormais sa meilleure option. Aujourd'hui, tout ceci semble bien loin, au point que se pose donc à nouveau la question d'un possible come-back au sommet du classement peut à nouveau se poser sans susciter l'hilarité. Le retour en force de Federer tient à deux éléments : son extrême régularité dans la performance depuis maintenant plusieurs mois, mais aussi l'absence d'une figure autoritaire durable au sein de la concurrence.
Penchons-nous d'abord sur le premier élément. Sur les douze tournois qu'il a disputés cette saison, Federer en a gagné trois et il a atteint cinq fois la finale. Deux fois sur trois, on l'a donc trouvé en piste dans le match pour le titre. Huit finales, quand il n'en avait joué que trois en 2013. Il a également déjà fait mieux qu'en 2011 (6 finales) ou 2009 (7) alors que nous ne sommes pas encore à la fin du mois d'août. Son seul véritable couac, c'est son élimination dès son entrée en lice à Rome, face à Jérémy Chardy. Pour le reste, il n'a jamais engrangé moins de 150 points par tournoi. A force, cela finit par payer.
La dilution des titres majeurs sert ses intérêts
Dans le même temps, contrairement à ce qui s'était produit l'an dernier avec Nadal, personne ne s'affirme donc de façon incontestable au-dessus de la mêlée. Aucun joueur n'a remporté plus de quatre titres cette saison, un "record" 2014 co-détenu par Djokovic et Nadal. En 2013, à la même époque, Nadal en comptait déjà neuf. Les trois levées du Grand Chelem sont revenues à trois joueurs différents. En sept Masters 1000, il y a déjà eu cinq vainqueurs. Il n'y en avait eu que trois sur toute la saison précédente, et encore, huit des neuf M1000 avaient été trustés par Djokovic et Nadal. Cette dilution des principaux trophées sert les intérêts de Federer.
Pour autant, ce n'est évidemment pas gagné pour le Suisse. Loin, très loin de là. Pour l'heure, Federer numéro un mondial à plus de 33 ans, et plus de deux ans après avoir lâché le pouvoir, c'est davantage une hypothèse qu'une évidence. Cela n'interviendra de toute façon pas, si cela doit se produire, avant le dernier trimestre 2014. Reste qu'en moins de six mois, il a déjà accompli le premier pas, en repassant devant les Berdych, Wawrinka, Murray et Cie pour s'installer à nouveau sur le podium. Il a même creusé l'écart sur ses plus proches poursuivants. Mais le plus compliqué reste à faire : déloger les deux mastodontes à plus de 10000 points, Novak Djokovic et Rafael Nadal.
Le gouffre qui le sépare de Djokovic et Nadal est un trompe-l'oeil
A première vue, comme ça, le Bâlois est encore très loin du compte. Djokovic totalise 12270 points, Nadal 10670 et Federer 7490. Mais le gouffre qui semble séparer Federer de ses deux rivaux est un trompe-l'œil. Pour une simple raison : d'ici la fin de la saison, Djokovic va remettre en jeu 5200 points, Nadal 4020 et Federer seulement 1330. Sachant que Nadal va d'ores et déjà perdre les 2000 points de son titre à l'US Open l'an dernier. Pour y voir plus clair et bien mesurer que la course à la place de numéro un demeure ouverte, il faut jeter un œil à "la Race". Sur les points engrangés uniquement depuis le 1er janvier 2014, Djokovic est aux commandes (7430), et devance, comme au classement de référence, Nadal (6645) et Federer (6160).
Moralité, Djokovic tient la corde pour finir l'année au pouvoir, mais sa marge sur Federer (1270 points) est beaucoup plus ténue. Si le Suisse atteint le dernier carré à Flushing, il dépassera Nadal sur 2014. S'il gagne le tournoi, il se relancera totalement. Comme en 2012, lorsqu'il s'était remis en position de redevenir numéro un mondial, il faudra probablement qu'il parvienne à nouveau à gagner en Grand Chelem pour retrouver le trône. C'est là tout le problème pour Federer, qui n'a gagné qu'un seul des 18 derniers majeurs et dont le dernier titre de cette envergure remonte maintenant à plus de deux ans. Mathématiquement, en fonction des circonstances, il peut finir l'année numéro un sans s'imposer à New York, mais dans les faits, c'est très peu probable. Et ce ne serait pas souhaitable. A 33 ans, Federer joue pour les grands titres, pas pour des points. Le classement n'est plus qu'une conséquence pour lui. Un dommage collatéral, comme en 2013. Ou une cerise sur le gâteau. Aujourd'hui, le voilà à nouveau dans le second cas de figure. C'est déjà une sacrée victoire pour le revenant bâlois.
Le débat sur le plus grand tennisman de l'Histoire est vraiment complexe. Certes Roger est un immense champion et ce qu'il a réalisé est unique. Mais un Björn Borg, qui a véritablement révolutionné le jeu à son époque, ou Nadal qui domine la terre battue comme aucun joueur ne l'avait fait sur aucune surface auparavant, et qui malgré un physique souvent meurtri qui l'a maintes fois contraint à l'abandon sera peut-être en mesure au crépuscule de sa carrière de détrôner Federer en nombre de victoires en Grand Chelem, ont aussi de forts arguments à faire valoir. J'avoue une forte admiration pour Rafa et je ne me résoudrai jamais à définir le meilleur "all time", tant ces deux champions m'ont estomaqué par leurs exploits et leur finale de Wimbledon 2008 qui reste le plus grand match qu'il m'ait été donné de voir. La seule certitude qui m'habite est que nous avons affaire à la meilleure génération qui ait jamais évolué dans l'ère Open. Nés à une autre époque Federer aurait déjà +/- 22 titres GC, Nadal une petite vingtaine, Djokovic une bonne douzaine. La manière dont ils ont écrasé la concurrence (avec Murray) est phénoménale. En plus ils font preuve d'un fair-play et d'une modestie que j'admire encore plus que leurs exploits sportifs. Profitons-en donc, pourvu que ça dure. Vive la "Golden Gen" et bien sûr c'mon Roger & Stan!info-g a écrit :Rodger dispute son 60ème (!) tournoi du Grand Chelem d'affilée. Un chiffre stratosphérique, qu'aucun autre membre de feu le Big 4 n'atteindra jamais. Un nombre qui prouve, si tant est qu'il faille encore le prouver, que Federer est le plus grand joueur de tous les temps.
C'est vrai que ce débat sur le plus grand joueur de tous les temps donne vraiment des discussion à n'en plus finir. Parce qu'il n'y a pas que Borg dont il faut tenir compte. A mon sens, Rod Laver est quand même nettement au dessus du suédois même s'il a gagné le même nbr de titre (11). Il est quand même le seul à avoir réussi le Grand Chelem calendaire (et 2x en plus). Et s'il n'avait pas eu des problème par rapport au début du professionalisme, il ne se serait pas arrêter à 11 Grand Chelem lui qui n'en a pas jouer les tournois pendant 5 ans.isotope_665 a écrit :Comme favori je placerai Novak Djokovic. Après tout est très ouvert: Federer, Wawrinka, Murray ou pourquoi pas Ferrer, Tsonga ou Dimitrov...Le débat sur le plus grand tennisman de l'Histoire est vraiment complexe. Certes Roger est un immense champion et ce qu'il a réalisé est unique. Mais un Björn Borg, qui a véritablement révolutionné le jeu à son époque, ou Nadal qui domine la terre battue comme aucun joueur ne l'avait fait sur aucune surface auparavant, et qui malgré un physique souvent meurtri qui l'a maintes fois contraint à l'abandon sera peut-être en mesure au crépuscule de sa carrière de détrôner Federer en nombre de victoires en Grand Chelem, ont aussi de forts arguments à faire valoir. J'avoue une forte admiration pour Rafa et je ne me résoudrai jamais à définir le meilleur "all time", tant ces deux champions m'ont estomaqué par leurs exploits et leur finale de Wimbledon 2008 qui reste le plus grand match qu'il m'ait été donné de voir. La seule certitude qui m'habite est que nous avons affaire à la meilleure génération qui ait jamais évolué dans l'ère Open. Nés à une autre époque Federer aurait déjà +/- 22 titres GC, Nadal une petite vingtaine, Djokovic une bonne douzaine. La manière dont ils ont écrasé la concurrence (avec Murray) est phénoménale. En plus ils font preuve d'un fair-play et d'une modestie que j'admire encore plus que leurs exploits sportifs. Profitons-en donc, pourvu que ça dure. Vive la "Golden Gen" et bien sûr c'mon Roger & Stan!info-g a écrit :Rodger dispute son 60ème (!) tournoi du Grand Chelem d'affilée. Un chiffre stratosphérique, qu'aucun autre membre de feu le Big 4 n'atteindra jamais. Un nombre qui prouve, si tant est qu'il faille encore le prouver, que Federer est le plus grand joueur de tous les temps.
C'est bête, si tu avais écrit: "Dans un tout autre registre, info-g s'est défait d'un Bâlois sur le score de 7-6 7-5",info-g a écrit :Dans un tout autre registre, info-g s'est défait d'un Bâlois classé R5 sur le score de 7-6 7-5
Ca aurait pu être Chiudinelli aussi. Il est aussi bâloisHik a écrit :C'est bête, si tu avais écrit: "Dans un tout autre registre, info-g s'est défait d'un Bâlois sur le score de 7-6 7-5",info-g a écrit :Dans un tout autre registre, info-g s'est défait d'un Bâlois classé R5 sur le score de 7-6 7-5
sans dire de mensonges, certains auraient pu croire que tu venais de servir de sparring partner à Federer et que tu l'avais battu à l'entraînement