Pour sa sortie hasardeuse je me suis demandé si ce n'était pas à cause de la pression mise sur les gardiens du au tournus de papi Kuhn. On voyait que Benaglio mettait de la bonne volonté et que sa sortie était un peu un élan exagéré de bien faire §-). Mais dans l'ensemble effectivement il a fait un bon match.niach a écrit :Franchement il n'y a rien à dire sur Benaglio ( a part une sortie hasardeuse sans gravité)!! 2 pénos, 1 coup franc(inexistant) avec défenseurs aux choux! 4eme but sort une parade de malade mais ca suffit pas.. Sinon 2 belles sorties à noter!
En tout cas, si ce n'est pas celui de Kobi c'est mon num. 1!
Zubi fait encore une boulette!
Dr Raphi
Diplômé le 29.08.2005
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Oué vraiment pas terrible ce soir mais c'est bien plus son attitude qui m'énerve!pompon a écrit :et bien merci behrami
Un nombre de fautes conséquent et très souvent "à la rue" quand il s'agit de marquer son homme.
Bref ils auront un motif pour bosser la défense! lol Et aussi apprendre le verbe gérer!
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certes pour le premier mais sur les 2 autres il dance un ballet plutot que de marquer son joueur, après une heure de match, un peno "provoqué" et le niveau de l'arbitre il aurait pu se contenter de joueur le défenseur ordinairetouristpower a écrit :Il n'a pas été bon, mais le premier penalty est inexistant, le deuxième discutable.pompon a écrit :et bien merci behrami
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Presse-purée
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C'est dans ce genre de matches qu'on se rend compte que la Suisse restera toujours... la Suisse. Elle ne peut tout simplement pas se permettre de lever le pied comme ce fut le cas en seconde période, car la sanction est immédiate, même contre une équipe du Japon qui est loin d'être un foudre de guerre. La défense avait déjà bien souffert contre le Chili, mais là...
Behrami n'a effectivement pas marqué des points ce soir. Von Bergen manque encore d'expérience à ce niveau. Quant à Senderos, j'espère qu'il saura rapidement retrouver le niveau qui était le sien lors de la dernière coupe du monde.
La Suisse peut inquiéter plus ou moins n'importe quelle équipe si elle joue à 100% comme ce fut le cas contre l'Argentine ou les Pays-Bas. Mais dès qu'elle lève le pied ou se prend pour ce qu'elle n'est pas - une grande équipe - la sentence est cinglante à l'image de cette triste deuxième période.
A part une sortie mal négociée, Benaglio n'a pas grand chose à se reprocher. A l'impossible nul n'est tenu. Ce qui m'ennuie, c'est que ce genre de rencontres laissent généralement des traces dans la tête d'un gardien lorsqu'il prend 4 buts, même s'il n'y peut pas grand chose. J'espère qu'il oubliera vite cette soirée et qu'il ne perdra pas confiance.
Je crois qu'il n'y a malgré tout pas lieu de s'alarmer après la médiocre prestation de ce soir, dans le sens où la Suisse n'est généralement pas bien performante dans des rencontres sans enjeu. Elle saura nous montrer son vrai visage sur l'ensemble d'un match quand le jeu en vaudra vraiment la chandelle, soit l'été prochain. Cette équipe possède un grand potentiel et lorsqu'elle joue à 100% comme ce fut le cas en première période, elle devient difficile à battre.
Vivement qu'on en finisse avec ces matches amicaux et qu'on passe aux choses sérieuses !
Behrami n'a effectivement pas marqué des points ce soir. Von Bergen manque encore d'expérience à ce niveau. Quant à Senderos, j'espère qu'il saura rapidement retrouver le niveau qui était le sien lors de la dernière coupe du monde.
La Suisse peut inquiéter plus ou moins n'importe quelle équipe si elle joue à 100% comme ce fut le cas contre l'Argentine ou les Pays-Bas. Mais dès qu'elle lève le pied ou se prend pour ce qu'elle n'est pas - une grande équipe - la sentence est cinglante à l'image de cette triste deuxième période.
A part une sortie mal négociée, Benaglio n'a pas grand chose à se reprocher. A l'impossible nul n'est tenu. Ce qui m'ennuie, c'est que ce genre de rencontres laissent généralement des traces dans la tête d'un gardien lorsqu'il prend 4 buts, même s'il n'y peut pas grand chose. J'espère qu'il oubliera vite cette soirée et qu'il ne perdra pas confiance.
Je crois qu'il n'y a malgré tout pas lieu de s'alarmer après la médiocre prestation de ce soir, dans le sens où la Suisse n'est généralement pas bien performante dans des rencontres sans enjeu. Elle saura nous montrer son vrai visage sur l'ensemble d'un match quand le jeu en vaudra vraiment la chandelle, soit l'été prochain. Cette équipe possède un grand potentiel et lorsqu'elle joue à 100% comme ce fut le cas en première période, elle devient difficile à battre.
Vivement qu'on en finisse avec ces matches amicaux et qu'on passe aux choses sérieuses !
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L'équipe de Suisse battue 4-3 par le Japon
Alors qu'elle paraissait repartie sur un chemin victorieux, la Suisse a subi un coup d'arrêt cinglant dans sa préparation pour l'EURO 2008. La troupe de Köbi Kuhn a en effet mordu la poussière 4-3 contre le Japon lors du Tournoi des continents à Klagenfurt, alors qu'elle menait 2-0 et livrait une copie presque parfaite.
A la pause, en effet, tout autre scénario qu'un large succès suisse semblait improbable. Sur un magnifique coup franc, Magnin avait donné l'avantage aux hommes de Köbi Kuhn (11e). Puis, deux minutes plus tard, Nkufo doublait la mise sur penalty. Hélas, les choses allaient se gâter ensuite. A la 53e, Nakamura trasnformait un penalty consécutif à une faute de Behrami sur Matsui.
Le défenseur de la Lazio perdait ensuite son duel de la tête avec Maki pour le 2-2 (68e), avant d'accrocher ce dernier et d'obliger l'arbitre à signaler le point de penalty pour la troisième fois de la soirée. Un pensum dont se chargeait à nouveau le joueur du Celtic Glasgow, Nakamura (78e). L'égalisation de Djourou à la 80e sur un corner botté par Yakin n'allait pas permettre aux Helvètes de sortir complètement la tête de l'eau. Battus en vivacité et surtout en envie sur la fin de match, les hommes de Kuhn pliaient une quatrième fois, dans les arrêts de jeu, sur un but de Yano.
Diego Benaglio, titulaire dans la cage helvétique, ne pouvait assurément rien sur les buts nippons. Il se fit surtout remarquer sur trois interventions: deux grands arrêts et une sortie hasardeuse. Le portier de Nacional se fit presque héros à la 92e, en détournant une énorme frappe qui était, malheureusement pour lui et la Suisse, reprise victorieusement par Yano.
(ats / 11 septembre 2007 22:32)
Alors qu'elle paraissait repartie sur un chemin victorieux, la Suisse a subi un coup d'arrêt cinglant dans sa préparation pour l'EURO 2008. La troupe de Köbi Kuhn a en effet mordu la poussière 4-3 contre le Japon lors du Tournoi des continents à Klagenfurt, alors qu'elle menait 2-0 et livrait une copie presque parfaite.
A la pause, en effet, tout autre scénario qu'un large succès suisse semblait improbable. Sur un magnifique coup franc, Magnin avait donné l'avantage aux hommes de Köbi Kuhn (11e). Puis, deux minutes plus tard, Nkufo doublait la mise sur penalty. Hélas, les choses allaient se gâter ensuite. A la 53e, Nakamura trasnformait un penalty consécutif à une faute de Behrami sur Matsui.
Le défenseur de la Lazio perdait ensuite son duel de la tête avec Maki pour le 2-2 (68e), avant d'accrocher ce dernier et d'obliger l'arbitre à signaler le point de penalty pour la troisième fois de la soirée. Un pensum dont se chargeait à nouveau le joueur du Celtic Glasgow, Nakamura (78e). L'égalisation de Djourou à la 80e sur un corner botté par Yakin n'allait pas permettre aux Helvètes de sortir complètement la tête de l'eau. Battus en vivacité et surtout en envie sur la fin de match, les hommes de Kuhn pliaient une quatrième fois, dans les arrêts de jeu, sur un but de Yano.
Diego Benaglio, titulaire dans la cage helvétique, ne pouvait assurément rien sur les buts nippons. Il se fit surtout remarquer sur trois interventions: deux grands arrêts et une sortie hasardeuse. Le portier de Nacional se fit presque héros à la 92e, en détournant une énorme frappe qui était, malheureusement pour lui et la Suisse, reprise victorieusement par Yano.
(ats / 11 septembre 2007 22:32)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Quand l'équipe de Suisse frise le ridicule
FOOTBALL. La Nati menait pourtant 2-0 à la mi-temps de son match contre les Japonais. Bilan final: une défaite 3-4 tout sauf glorieuse, qui remet en question les pseudo-certitudes de Köbi Kuhn et Cie.
Simon Meier, Klagenfurt, Mercredi 12 septembre 2007
Constance, discipline et efficacité. Telles sont les valeurs qui décident en général du sort d'un match dans le football actuel. Tels sont aussi les maîtres mots que ressasse Köbi Kuhn en se rasant tous les matins. Le sélectionneur de l'équipe de Suisse, qui aimerait voir ses protégés titiller le gratin européen en juin prochain, n'est pas au bout de ses peines. Hier soir à Klagenfurt, opposée au Japon, la Nati est retombée dans ses travers après une première mi-temps solide bouclée sur le score de 2 à 0 - splendide coup franc de Ludovic Magnin (11e) et penalty de Blaise Nkufo (13e). Au final, la défaite (4-3) est rude à avaler. Et fait très tache sur le revers du smoking.
Quatre jours après un succès brouillon contre le Chili (2-1), la sélection helvétique pensait pouvoir prendre de la hauteur face à un adversaire nettement mieux outillé. Elle a, dans un premier temps, eu le mérite de retrouver un certain équilibre tactique. Dans un dispositif identique (4-4-1-1), Köbi Kuhn, soucieux de mieux exploiter les espaces, avait substitué certains visages. L'ensemble dissonant de Vienne s'est mué en édifice dénué de lézardes. Sans être flamboyants, les «rouge et blanc» ont tenu la baraque, fait courir le ballon et l'adversaire à la fois.
Mais la constance, la discipline et l'efficacité n'appartiennent qu'aux grands de la planète ballon. Or, la Suisse évolue encore un étage au-dessous, comme un changement radical de décor allait le prouver en seconde période. Valon Behrami, aligné latéral droit en l'absence de Philipp Degen, souffrant aux adducteurs, a cristallisé la dérive passagère des siens. En provoquant un premier penalty (53e), en perdant son duel aérien face à Seiichiro Maki (68e), puis en entraînant une seconde sanction suprême (78e). Menée au cours d'un match qui perdait tout sens de la logique au fil des minutes, la Suisse a cru arracher l'égalisation par Johan Djourou (80e) avant de plier une ultime fois dans les arrêts de jeu.
Encaisser quatre buts en quarante-cinq minutes face à un Japon certes vif et technique, voilà de quoi alimenter bien des inquiétudes. Le pauvre Diego Benaglio, aligné dans les buts, a de surcroît évité une addition encore plus salée via deux arrêts de grande classe... Bref, tous les éléments de satisfaction échafaudés en première période ont volé en éclat. Histoire de ne pas céder à la dépression, on rappellera quelques points positifs. Parmi ceux-là, la nouvelle prestation à peu près immaculée de Steve Von Bergen. Le Neuchâtelois du Hertha Berlin, accrocheur et clairvoyant, a remarquablement épaulé Philippe Senderos dans l'axe de la défense avant de se couler dans le collectif. Deuxième confirmation du jour, Johan Vonlanthen prend ses aises dans le couloir droit. A 21 ans, l'homme a nettement gagné en maturité. Le joueur suit la tendance, et ses déboulés s'avèrent toujours plus affûtés.
Quoi d'autre? Pas grand-chose. Transparent, Xavier Margairaz patauge dans le costard de meneur de jeu. Et Benjamin Huggel, quoique nettement plus en vue que Fabio Celstini quatre jours plus tôt à Vienne dans le rôle du numéro 6, n'est pas homme à apporter trop de fantaisie dans l'entrejeu. En un mot, l'équipe de Suisse, qui a bâti sa récente réputation sur sa cohésion et sa faculté à faire déjouer ses adversaires, a égaré bien des certitudes devant les 19 500 spectateurs du splendide Wörthersee Stadion.
Telle est la conclusion peu glorieuse de cette escapade autrichienne. Le chantier de la Nati en vue de l'Euro 2008 avance, mais pas forcément dans le bon sens. Et la débâcle de Klagenfurt ne devrait pas avoir un effet formidable sur l'état de confiance des troupes. Constance, discipline, efficacité. Tel demeure l'objectif suprême pour l'équipe de Suisse. Que la route paraît longue!
[Le Temps 2007]
FOOTBALL. La Nati menait pourtant 2-0 à la mi-temps de son match contre les Japonais. Bilan final: une défaite 3-4 tout sauf glorieuse, qui remet en question les pseudo-certitudes de Köbi Kuhn et Cie.
Simon Meier, Klagenfurt, Mercredi 12 septembre 2007
Constance, discipline et efficacité. Telles sont les valeurs qui décident en général du sort d'un match dans le football actuel. Tels sont aussi les maîtres mots que ressasse Köbi Kuhn en se rasant tous les matins. Le sélectionneur de l'équipe de Suisse, qui aimerait voir ses protégés titiller le gratin européen en juin prochain, n'est pas au bout de ses peines. Hier soir à Klagenfurt, opposée au Japon, la Nati est retombée dans ses travers après une première mi-temps solide bouclée sur le score de 2 à 0 - splendide coup franc de Ludovic Magnin (11e) et penalty de Blaise Nkufo (13e). Au final, la défaite (4-3) est rude à avaler. Et fait très tache sur le revers du smoking.
Quatre jours après un succès brouillon contre le Chili (2-1), la sélection helvétique pensait pouvoir prendre de la hauteur face à un adversaire nettement mieux outillé. Elle a, dans un premier temps, eu le mérite de retrouver un certain équilibre tactique. Dans un dispositif identique (4-4-1-1), Köbi Kuhn, soucieux de mieux exploiter les espaces, avait substitué certains visages. L'ensemble dissonant de Vienne s'est mué en édifice dénué de lézardes. Sans être flamboyants, les «rouge et blanc» ont tenu la baraque, fait courir le ballon et l'adversaire à la fois.
Mais la constance, la discipline et l'efficacité n'appartiennent qu'aux grands de la planète ballon. Or, la Suisse évolue encore un étage au-dessous, comme un changement radical de décor allait le prouver en seconde période. Valon Behrami, aligné latéral droit en l'absence de Philipp Degen, souffrant aux adducteurs, a cristallisé la dérive passagère des siens. En provoquant un premier penalty (53e), en perdant son duel aérien face à Seiichiro Maki (68e), puis en entraînant une seconde sanction suprême (78e). Menée au cours d'un match qui perdait tout sens de la logique au fil des minutes, la Suisse a cru arracher l'égalisation par Johan Djourou (80e) avant de plier une ultime fois dans les arrêts de jeu.
Encaisser quatre buts en quarante-cinq minutes face à un Japon certes vif et technique, voilà de quoi alimenter bien des inquiétudes. Le pauvre Diego Benaglio, aligné dans les buts, a de surcroît évité une addition encore plus salée via deux arrêts de grande classe... Bref, tous les éléments de satisfaction échafaudés en première période ont volé en éclat. Histoire de ne pas céder à la dépression, on rappellera quelques points positifs. Parmi ceux-là, la nouvelle prestation à peu près immaculée de Steve Von Bergen. Le Neuchâtelois du Hertha Berlin, accrocheur et clairvoyant, a remarquablement épaulé Philippe Senderos dans l'axe de la défense avant de se couler dans le collectif. Deuxième confirmation du jour, Johan Vonlanthen prend ses aises dans le couloir droit. A 21 ans, l'homme a nettement gagné en maturité. Le joueur suit la tendance, et ses déboulés s'avèrent toujours plus affûtés.
Quoi d'autre? Pas grand-chose. Transparent, Xavier Margairaz patauge dans le costard de meneur de jeu. Et Benjamin Huggel, quoique nettement plus en vue que Fabio Celstini quatre jours plus tôt à Vienne dans le rôle du numéro 6, n'est pas homme à apporter trop de fantaisie dans l'entrejeu. En un mot, l'équipe de Suisse, qui a bâti sa récente réputation sur sa cohésion et sa faculté à faire déjouer ses adversaires, a égaré bien des certitudes devant les 19 500 spectateurs du splendide Wörthersee Stadion.
Telle est la conclusion peu glorieuse de cette escapade autrichienne. Le chantier de la Nati en vue de l'Euro 2008 avance, mais pas forcément dans le bon sens. Et la débâcle de Klagenfurt ne devrait pas avoir un effet formidable sur l'état de confiance des troupes. Constance, discipline, efficacité. Tel demeure l'objectif suprême pour l'équipe de Suisse. Que la route paraît longue!
[Le Temps 2007]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
