Triste si tu attends 32 ans pour faire un enfant à cause de la taxe militaire!Jojo a écrit :Me semble que ta taxe militaire tu la paies jusqu'a tes 32 ans, age auquel tu finis l'armée normalement... Donc a partir de 32 ans t'as encore largement le temps pr fonder ta famille
Armée
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
c'est vrai que tu n'avais pas d'autres choix, vu que tu n'as pas pu fournir de défenseurszorgg a écrit :servir la patrie ou lui fournir des défenseurs ... faut choisirMystik a écrit :Triste si tu attends 32 ans pour faire un enfant à cause de la taxe militaire!
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nufc
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Au pire, il faut faire fusillier territorial, les seuls soldats qui sont vraiment au contact de la populationzorgg a écrit :servir la patrie ou lui fournir des défenseurs ... faut choisirMystik a écrit :Triste si tu attends 32 ans pour faire un enfant à cause de la taxe militaire!
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Mystik a écrit :c'est vrai que tu n'avais pas d'autres choix, vu que tu n'as pas pu fournir de défenseurs
Université d'Ottawa a écrit :Neutraliser un texte consiste à employer des tournures qui éliminent toute référence au sexe des personnes dont il est question dans le texte.
Tu le saurais à l'évidence si t'avais eu l'occasion de fréquenter ces jolies
défens(eurs) de la patrie
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Au recrutement, comme ca tu vas à la PC, normalement. Sinon, si c'est pendant l'armée, c'est service civil -> 450 joursGabbalife a écrit :
Mais pour me faire réformer, je dois le faire là, maintenant au recrutement, ou j'ai le temps de trouver une excuse bidon d'ici la fin de mes études?
Moins d'ambition, plus de passion !
supp_séd a écrit :Il n'y a qu'ici que l'on croit que le manque de savoir vivre est un impératif économique.
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Pertes d'armes de service: le chef de l'Armée exige une application stricte des dispositions existantes
Berne, 13.03.2008 - Le commandant de corps Roland Nef, chef de l'Armée (CdA), a ordonné des mesures pour réduire la perte et le vol d'armes de service. Il donne notamment des directives aux cadres de l'armée pour que les inspections d'armes et les contrôles de l'équipement pendant les périodes de service soient effectués partout.
Dans un ordre du jour, le CdA a requis que les commandants mettent en oeuvre l'instruction concernant le maniement de l'arme personnelle au service et hors du service de manière conséquente. La conservation de l'arme personnelle est réglée par les dispositions de la loi sur l'armée et l'administration militaire (LAAM), du règlement de service (RS 04) et du règlement Organisation des services d'instruction (OSI). Hors du service, les militaires astreints au service ont l'obligation de veiller à la conservation en lieu sûr et à l'entretien de leur équipement personnel. Celui-ci doit être conservé à la maison, à l'abri du vol. La perte de l'arme personnelle hors du service doit être annoncée sans délai. Chaque militaire est instruit sur la manière correcte de conserver son arme personnelle et comment il doit agir en cas de perte de celle-ci.
Le CdA ordonne en outre que les commandants de troupe mettent en oeuvre de manière conséquente les ordres existants concernant les contrôles de l'équipement et les inspections d'armes pendant les périodes de service. La Sécurité militaire est mise à contribution pour effectuer des contrôles supplémentaires. D'autres mesures sont actuellement à l'examen.
Période considérée : de 1969 à 2008
Dimanche passé, des chiffres concernant les pertes d'armes ont été publiés. Lors de la transmission des données chiffrées, un malentendu s'est produit pour des raisons administratives à propos de la période considérée. Les pertes d'armes ont été recensées depuis 1969 et non depuis 1997 comme indiqué.
Entre 1969 et 2008, la disparition de 4581 armes a été annoncée à l'armée. Celles-ci ont été volées ou perdues. 4321 armes restent introuvables. Parmi elles, 422 ont disparu durant un service et 3897 hors du service. 2 fusils pour jeunes tireurs ont également été perdus. Du temps d'Armée 61 (de 1969 à 1994), 2817 armes sont restées introuvables. Entre 1995 et 2003 (Armée 95), 1203 armes n'ont jamais été retrouvées. Depuis la réforme de l'armée entreprise en 2004, 247 armes ont été perdues. Après la mise en place d'Armée XXI, le nombre annoncé de disparitions d'armes a nettement diminué en raison des effectifs plus bas. De très nombreuses disparitions ont été enregistrées dans les années des deux réformes de l'Armée, au cours desquelles un nombre supérieur à la moyenne de militaires a été libéré des obligations militaires.
Des 251 armes disparues entre 2004 et 2008 (dont 4 armes ont été retrouvées), 193 ont été annoncées volées, 22 perdues et 36 disparues dans d'autres circonstances (pas de déclaration sur le type de perte ou pas d'indication des raisons).
En règle générale, les militaires annoncent la perte de leur arme personnelle à l'entrée au service, lors de la libération des obligations militaires ou en cas de perte en cours de service. Le magasin de rétablissement du canton de domicile remplit une notice qui consigne des informations concernant la date et l'heure, le lieu de conservation, le dépôt d'une plainte pénale, le rapport de police, la découverte, le remplacement, la facturation (lorsqu'une négligence grave est patente, comme le fait d'oublier son arme dans le train). Ce rapport est envoyé à la centrale de la Base logistique de l'armée à Berne. En parallèle, la perte de l'arme est comptabilisée électroniquement.
Un groupe de travail est chargé de traiter des questions relatives aux armes d'ordonnance
Fin 2007, le conseiller fédéral Samuel Schmid, chef du Département de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS), a mis sur pied un groupe de travail « Armes d'ordonnance ». Ce dernier a pour mission d'analyser, d'ici à la fin 2008 au plus tard, les aspects militaires, juridiques, constitutionnels et sociologiques des questions relatives à l'arme de service personnelle. Des critères plus sévères pour la remise d'armes d'ordonnance à domicile comme ceux en vigueur sur le plan civil pour l'acquisition d'une arme, des mesures techniques (par exemple le verrouillage mécanique ou électronique de l'arme hors du service), des possibilités élargies de déposer les armes d'ordonnance et des considérations concernant la place des armes dans une société en mutation sont notamment examinées.
Le 7 décembre 2007, le chef du DDPS a informé le Conseil fédéral de l'engagement du groupe de travail. Par la même occasion, il a confirmé que les bases légales en vigueur seraient appliquées de manière inchangée jusqu'à la fin des investigations. Font exception les mesures d'urgence. Des décisions seront prises lorsque le rapport du groupe de travail « Armes d'ordonnance » aura été déposé. Celui-ci doit mettre en évidence les marges de manoeuvre disponibles pour des mesures visant à renforcer la sécurité en tenant compte de la mission constitutionnelle de l'armée et des intérêts des entités concernées (armée, police, population, tireurs, etc.).
(admin.ch)
Berne, 13.03.2008 - Le commandant de corps Roland Nef, chef de l'Armée (CdA), a ordonné des mesures pour réduire la perte et le vol d'armes de service. Il donne notamment des directives aux cadres de l'armée pour que les inspections d'armes et les contrôles de l'équipement pendant les périodes de service soient effectués partout.
Dans un ordre du jour, le CdA a requis que les commandants mettent en oeuvre l'instruction concernant le maniement de l'arme personnelle au service et hors du service de manière conséquente. La conservation de l'arme personnelle est réglée par les dispositions de la loi sur l'armée et l'administration militaire (LAAM), du règlement de service (RS 04) et du règlement Organisation des services d'instruction (OSI). Hors du service, les militaires astreints au service ont l'obligation de veiller à la conservation en lieu sûr et à l'entretien de leur équipement personnel. Celui-ci doit être conservé à la maison, à l'abri du vol. La perte de l'arme personnelle hors du service doit être annoncée sans délai. Chaque militaire est instruit sur la manière correcte de conserver son arme personnelle et comment il doit agir en cas de perte de celle-ci.
Le CdA ordonne en outre que les commandants de troupe mettent en oeuvre de manière conséquente les ordres existants concernant les contrôles de l'équipement et les inspections d'armes pendant les périodes de service. La Sécurité militaire est mise à contribution pour effectuer des contrôles supplémentaires. D'autres mesures sont actuellement à l'examen.
Période considérée : de 1969 à 2008
Dimanche passé, des chiffres concernant les pertes d'armes ont été publiés. Lors de la transmission des données chiffrées, un malentendu s'est produit pour des raisons administratives à propos de la période considérée. Les pertes d'armes ont été recensées depuis 1969 et non depuis 1997 comme indiqué.
Entre 1969 et 2008, la disparition de 4581 armes a été annoncée à l'armée. Celles-ci ont été volées ou perdues. 4321 armes restent introuvables. Parmi elles, 422 ont disparu durant un service et 3897 hors du service. 2 fusils pour jeunes tireurs ont également été perdus. Du temps d'Armée 61 (de 1969 à 1994), 2817 armes sont restées introuvables. Entre 1995 et 2003 (Armée 95), 1203 armes n'ont jamais été retrouvées. Depuis la réforme de l'armée entreprise en 2004, 247 armes ont été perdues. Après la mise en place d'Armée XXI, le nombre annoncé de disparitions d'armes a nettement diminué en raison des effectifs plus bas. De très nombreuses disparitions ont été enregistrées dans les années des deux réformes de l'Armée, au cours desquelles un nombre supérieur à la moyenne de militaires a été libéré des obligations militaires.
Des 251 armes disparues entre 2004 et 2008 (dont 4 armes ont été retrouvées), 193 ont été annoncées volées, 22 perdues et 36 disparues dans d'autres circonstances (pas de déclaration sur le type de perte ou pas d'indication des raisons).
En règle générale, les militaires annoncent la perte de leur arme personnelle à l'entrée au service, lors de la libération des obligations militaires ou en cas de perte en cours de service. Le magasin de rétablissement du canton de domicile remplit une notice qui consigne des informations concernant la date et l'heure, le lieu de conservation, le dépôt d'une plainte pénale, le rapport de police, la découverte, le remplacement, la facturation (lorsqu'une négligence grave est patente, comme le fait d'oublier son arme dans le train). Ce rapport est envoyé à la centrale de la Base logistique de l'armée à Berne. En parallèle, la perte de l'arme est comptabilisée électroniquement.
Un groupe de travail est chargé de traiter des questions relatives aux armes d'ordonnance
Fin 2007, le conseiller fédéral Samuel Schmid, chef du Département de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS), a mis sur pied un groupe de travail « Armes d'ordonnance ». Ce dernier a pour mission d'analyser, d'ici à la fin 2008 au plus tard, les aspects militaires, juridiques, constitutionnels et sociologiques des questions relatives à l'arme de service personnelle. Des critères plus sévères pour la remise d'armes d'ordonnance à domicile comme ceux en vigueur sur le plan civil pour l'acquisition d'une arme, des mesures techniques (par exemple le verrouillage mécanique ou électronique de l'arme hors du service), des possibilités élargies de déposer les armes d'ordonnance et des considérations concernant la place des armes dans une société en mutation sont notamment examinées.
Le 7 décembre 2007, le chef du DDPS a informé le Conseil fédéral de l'engagement du groupe de travail. Par la même occasion, il a confirmé que les bases légales en vigueur seraient appliquées de manière inchangée jusqu'à la fin des investigations. Font exception les mesures d'urgence. Des décisions seront prises lorsque le rapport du groupe de travail « Armes d'ordonnance » aura été déposé. Celui-ci doit mettre en évidence les marges de manoeuvre disponibles pour des mesures visant à renforcer la sécurité en tenant compte de la mission constitutionnelle de l'armée et des intérêts des entités concernées (armée, police, population, tireurs, etc.).
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Armée: légère baisse du nombre de soldates
Le nombre de femmes désireuses de servir sous les drapeaux est en légère baisse depuis trois ans. Elles étaient 153 en 2007 contre 171 en 2005. L'armée réagit et les invite à une rencontre sur la place d'armes de Thoune (BE) le 5 avril.
La manifestation mise sur pied avec l'organisation "Business and Professional Women" vise à fournir aux participantes une vue plus approfondie de l'armée, a indiqué le porte-parole du Département de la défense Chritian Burri. Il revenait sur une information publiée mardi par le quotidien "heute".
Pour expliquer cette baisse de motivation, M. Burri évoque notamment le fait qu'une formation militaire de base ne représente plus guère un avantage pour celles qui se destinent à entrer dans la police. Comme le service est facultatif pour les femmes, elles doivent en outre faire preuve de plus de persuasion auprès d'un éventuel employeur pour qu'il accepte de les libérer.
Le porte-parole note en outre que certaines femmes ont certainement aussi été "déçues" par le service militaire. Actuellement, environ un millier d'entre elles servent dans l'armée suisse, soit une proportion de 0,2%.
(ats / 19 mars 2008 10:52)
Le nombre de femmes désireuses de servir sous les drapeaux est en légère baisse depuis trois ans. Elles étaient 153 en 2007 contre 171 en 2005. L'armée réagit et les invite à une rencontre sur la place d'armes de Thoune (BE) le 5 avril.
La manifestation mise sur pied avec l'organisation "Business and Professional Women" vise à fournir aux participantes une vue plus approfondie de l'armée, a indiqué le porte-parole du Département de la défense Chritian Burri. Il revenait sur une information publiée mardi par le quotidien "heute".
Pour expliquer cette baisse de motivation, M. Burri évoque notamment le fait qu'une formation militaire de base ne représente plus guère un avantage pour celles qui se destinent à entrer dans la police. Comme le service est facultatif pour les femmes, elles doivent en outre faire preuve de plus de persuasion auprès d'un éventuel employeur pour qu'il accepte de les libérer.
Le porte-parole note en outre que certaines femmes ont certainement aussi été "déçues" par le service militaire. Actuellement, environ un millier d'entre elles servent dans l'armée suisse, soit une proportion de 0,2%.
(ats / 19 mars 2008 10:52)
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Les Suisses n'ont pas à se prononcer sur les dépenses militaires
Le peuple n'a pas à se prononcer sur les dépenses militaires. Le National a refusé par 120 voix contre 61 de donner suite à une initiative parlementaire des Verts proposant que les crédits pour l'achat d'armements puissent être combattus par référendum.
Il n'y a aucune raison que les dépenses militaires fassent exception parmi les crédits votés par le Parlement qui ne sont de manière générale pas soumis au référendum facultatif. Le Conseil national vient d'ailleurs de classer une autre initiative parlementaire demandant l'instauration d'un référendum financier, a dit Thérèse Meyer (PDC/FR) au nom de la commission préparatoire.
Pour le camp rose-vert en revanche, les dépenses militaires sont différentes des autres. Elles intéressent beaucoup la population, sont concrètes et souvent controversées politiquement. Il est donc légitime que le peuple ait son mot à dire.
Les positions n'ont guère évolué depuis vingt ans. En avril 1987, une initiative populaire allant dans le même sens que la proposition des Verts a été rejetée par 59,4% des votants.
(ats / 20 mars 2008 11:02)
Le peuple n'a pas à se prononcer sur les dépenses militaires. Le National a refusé par 120 voix contre 61 de donner suite à une initiative parlementaire des Verts proposant que les crédits pour l'achat d'armements puissent être combattus par référendum.
Il n'y a aucune raison que les dépenses militaires fassent exception parmi les crédits votés par le Parlement qui ne sont de manière générale pas soumis au référendum facultatif. Le Conseil national vient d'ailleurs de classer une autre initiative parlementaire demandant l'instauration d'un référendum financier, a dit Thérèse Meyer (PDC/FR) au nom de la commission préparatoire.
Pour le camp rose-vert en revanche, les dépenses militaires sont différentes des autres. Elles intéressent beaucoup la population, sont concrètes et souvent controversées politiquement. Il est donc légitime que le peuple ait son mot à dire.
Les positions n'ont guère évolué depuis vingt ans. En avril 1987, une initiative populaire allant dans le même sens que la proposition des Verts a été rejetée par 59,4% des votants.
(ats / 20 mars 2008 11:02)
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30 sur 32 militaires testés positifs
Berne, 20.03.2008
Les 18 et 20 mars 2008, la police militaire a effectué un contrôle de drogues sur 32 personnes, à la demande du commandant de l'école de recrues d'infrastructure et de quartier général 35 à Dailly (VS). 29 personnes ont été testées positives au THC, une positive au THC et à la cocaïne et 2 personnes ont été démasquées comme trafiquants. Ces trois dernières personnes sont licenciées sur le champ de l'école sur une base administrative.
Le cas des deux trafiquants sera examiné dans le cadre d'une enquête pénale. L'un des deux trafiquants est déféré à la justice civile. Le second devra affronter une procédure pénale militaire parce qu'il a encore commis d'autres délits.
Contre 21 personnes testées positives, le commandant d'école a prononcé des amendes, dont le montant varie entre 200 et 500 francs. Cinq autres personnes ont été sanctionnées par une réprimande.
Conformément aux directives de l'auditeur en chef concernant le traitement disciplinaire des infractions à la loi sur les stupéfiants au sens de l'article 218, al. 4, du CPM, un commandant de troupe est compétent pour confier une mission de contrôle à la police militaire en cas de « soupçons concrets » que de telles infractions ont été commises. De plus, l'Armée suisse connaît depuis 2003 une tolérance zéro absolue : en aucun cas, la consommation d'alcool ou de drogues n'est tolérée pendant le temps de travail.
L'école de recrues d'infrastructure et de quartier général 35 compte 186 recrues au total. Le 10 mars dernier, elles ont commencé leur instruction militaire de base à St-Maurice. Les recrues sont formées pour devenir des soldats chargés de l'exploitation et de la sécurité de l'hôpital, des installations de combat, de logistique et de commandement ainsi que des installations souterraines.
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Berne, 20.03.2008
Les 18 et 20 mars 2008, la police militaire a effectué un contrôle de drogues sur 32 personnes, à la demande du commandant de l'école de recrues d'infrastructure et de quartier général 35 à Dailly (VS). 29 personnes ont été testées positives au THC, une positive au THC et à la cocaïne et 2 personnes ont été démasquées comme trafiquants. Ces trois dernières personnes sont licenciées sur le champ de l'école sur une base administrative.
Le cas des deux trafiquants sera examiné dans le cadre d'une enquête pénale. L'un des deux trafiquants est déféré à la justice civile. Le second devra affronter une procédure pénale militaire parce qu'il a encore commis d'autres délits.
Contre 21 personnes testées positives, le commandant d'école a prononcé des amendes, dont le montant varie entre 200 et 500 francs. Cinq autres personnes ont été sanctionnées par une réprimande.
Conformément aux directives de l'auditeur en chef concernant le traitement disciplinaire des infractions à la loi sur les stupéfiants au sens de l'article 218, al. 4, du CPM, un commandant de troupe est compétent pour confier une mission de contrôle à la police militaire en cas de « soupçons concrets » que de telles infractions ont été commises. De plus, l'Armée suisse connaît depuis 2003 une tolérance zéro absolue : en aucun cas, la consommation d'alcool ou de drogues n'est tolérée pendant le temps de travail.
L'école de recrues d'infrastructure et de quartier général 35 compte 186 recrues au total. Le 10 mars dernier, elles ont commencé leur instruction militaire de base à St-Maurice. Les recrues sont formées pour devenir des soldats chargés de l'exploitation et de la sécurité de l'hôpital, des installations de combat, de logistique et de commandement ainsi que des installations souterraines.
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Je suis réformé !!! Youhouuuuu !!! Je suis même inapte pour la PC !
Le secret?
Ne parlez à personne.
Aux tests psychologiques, répondez tout ce qui va à l'encontre du sens moral de l'armé. (Sans amis, peur de la foule, insomnie, multitoxicoman, alcoolique, dépressif,...)
Ensuite vous aurez un magnifique rendez-vous avec la psy. Là n'hesitez pas à mettre la dose. Dites que vous pêter completement un plomb la-dedans, que vos parents sont alcooliques, que vous avez envie de vous sucider, que vous supportez pas les ordres, que vous soignez vos problèmes avec la drogue. Faites la totale. Vous verrez après 5 minutes ça en devient un jeu très marrant! Normalement le lendemain vous êtes réformés !
Le secret?
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Ensuite vous aurez un magnifique rendez-vous avec la psy. Là n'hesitez pas à mettre la dose. Dites que vous pêter completement un plomb la-dedans, que vos parents sont alcooliques, que vous avez envie de vous sucider, que vous supportez pas les ordres, que vous soignez vos problèmes avec la drogue. Faites la totale. Vous verrez après 5 minutes ça en devient un jeu très marrant! Normalement le lendemain vous êtes réformés !
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Tu es fiché à l'armée.... point barre!Arpentu a écrit :Ou alors tu peux être fiché (qui sait?) en tant que dangereux psychopathe drogué dépressif et j'en passe, et avoir plus de difficultés dans ta vie future pour trouver un travail. Qui engagerait une telle personne?
« J'ai claqué beaucoup d'argent dans l'alcool, les filles et les voitures de sport - le reste, je l'ai gaspillé. » George Best
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3% de ton salaire brut retourne dans les coffres de la Confédération...Gabbalife a écrit :Je suis réformé !!! Youhouuuuu !!! Je suis même inapte pour la PC !
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Aux tests psychologiques, répondez tout ce qui va à l'encontre du sens moral de l'armé. (Sans amis, peur de la foule, insomnie, multitoxicoman, alcoolique, dépressif,...)
Ensuite vous aurez un magnifique rendez-vous avec la psy. Là n'hesitez pas à mettre la dose. Dites que vous pêter completement un plomb la-dedans, que vos parents sont alcooliques, que vous avez envie de vous sucider, que vous supportez pas les ordres, que vous soignez vos problèmes avec la drogue. Faites la totale. Vous verrez après 5 minutes ça en devient un jeu très marrant! Normalement le lendemain vous êtes réformés !
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Secret médical. point barreArpentu a écrit :Ou alors tu peux être fiché (qui sait?) en tant que dangereux psychopathe drogué dépressif et j'en passe, et avoir plus de difficultés dans ta vie future pour trouver un travail. Qui engagerait une telle personne?
L'employeur n'a pas accès à ce genre de donnés. Tout était calculé, ne vous en faites pas.Supposons que tu gagnes 6 000 brut pour ta 1ère année (je donne un chiffre au hasard) : 2160 francs qui ne partent pas pour le budget vacances et ajoute à cela les impôts!Gabbalife a écrit :Raison de plus pour faire des études, et avoir un bon salaire!
les 1ers temps, ca va, tu tiens... puis tu commences à fonder une famille... et les sous deviennent qqch à ne pas trop gaspiller....
Dommage que tu décides de faire ca.... à mon sens, c'est un mauvais calcul!
Autant faire comme moi : trouver une planque et servir la patrie
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Ouais, à travers le service civile par exemple. C'est peut-être 1.5x plus long, mais tu fais au moins qqch d'intéressant, t'es payé correctement, et tu paies pas ta taxe ensuiteMystik a écrit :
Autant faire comme moi : trouver une planque et servir la patrie
Celui qui s'endort avec le cul qui gratte se réveille avec le doigt qui pu...
tant mieux pour toi mais je ne suis pas si sure que ça ne risque pas de te retomber dessus un jour ou l'autre...Gabbalife a écrit :Secret médical. point barreArpentu a écrit :Ou alors tu peux être fiché (qui sait?) en tant que dangereux psychopathe drogué dépressif et j'en passe, et avoir plus de difficultés dans ta vie future pour trouver un travail. Qui engagerait une telle personne?
On doit payer jusqu'à quel âge?doglover964 a écrit :ou comme moi: devenir un étudiant éternel, 200 CHF par année ça fait pas trop mal. Je ne payerais le plein tarif que pendant quelques petites années.Mystik a écrit :Gabbalife a écrit :
Autant faire comme moi : trouver une planque et servir la patrie
34 ans plutot je crois.inter a écrit :30 ans sauf erreurelephant a écrit :On doit payer jusqu'à quel âge?doglover964 a écrit : ou comme moi: devenir un étudiant éternel, 200 CHF par année ça fait pas trop mal. Je ne payerais le plein tarif que pendant quelques petites années.
L´avenir nous dira ce qu´on va faire dans le futur. CC le 29 mai 2007
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Exact! J'ai 20ans et j'en ai pour encore minimum 5 ans d'études,...doglover964 a écrit :ou comme moi: devenir un étudiant éternel, 200 CHF par année ça fait pas trop mal. Je ne payerais le plein tarif que pendant quelques petites années.Mystik a écrit :Gabbalife a écrit :
Autant faire comme moi : trouver une planque et servir la patrie
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Taxe militaire (taxe d'exemption de l'obligation de servir)
Si tu n'accomplis pas, ou pas totalement, tes jours de SC ou de SM aux périodes planifiées, tu seras soumis à une taxe d'exemption, de ta 20e à ta 30e année (11 années). Il s'agit de l'ancienne taxe militaire, qui est devenue la taxe d'exemption de l'obligation de servir. Elle se monte à 3% du revenu imposable selon l'impôt fédéral direct ou à 200 francs au minimum. Tu y seras assujetti:
jusqu'à l'année de tes 30 ans si tu as été réformé ou n'as pas été incorporé;
jusqu'à l'année de tes 34 ans si tu es astreint au service militaire ou civil et si tu n'as pas accompli tous tes jours de service.
http://www.gssa.ch/sc/21.php3
Si tu n'accomplis pas, ou pas totalement, tes jours de SC ou de SM aux périodes planifiées, tu seras soumis à une taxe d'exemption, de ta 20e à ta 30e année (11 années). Il s'agit de l'ancienne taxe militaire, qui est devenue la taxe d'exemption de l'obligation de servir. Elle se monte à 3% du revenu imposable selon l'impôt fédéral direct ou à 200 francs au minimum. Tu y seras assujetti:
jusqu'à l'année de tes 30 ans si tu as été réformé ou n'as pas été incorporé;
jusqu'à l'année de tes 34 ans si tu es astreint au service militaire ou civil et si tu n'as pas accompli tous tes jours de service.
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Evaluation de la Sécurité militaire de l'Armée suisse par la Fédération de Russie
Berne, 10.04.2008 - A la demande de la Fédération de Russie, la Sécurité militaire sera évaluée le 10 avril 2008 par trois officiers russes. Cette évaluation a lieu dans le cadre de l'OSCE et repose sur les dispositions concernant les mesures de confiance et de sécurité du Document de Vienne de 1999.
Les emplacements de la Sécurité militaire concernés par la visite du groupe d'évaluation russe sont situés à Berne (quartier général), Yverdon, Savatan et Thoune. Il s'agit en substance de la première évaluation d'une unité suisse cette année.
La visite d'évaluation a lieu au cours d'une journée de travail et dure jusqu'à une douzaine d'heures. L'évaluation de l'unité comprend des informations par les commandants de troupe, des visites à la troupe ainsi que l'évaluation des informations échangées dans le cadre de l'OSCE relatives au personnel, ainsi qu'au nombre et type des systèmes d'armes d'importance majeure disponibles.
Dans le cadre de l'échange réciproque d'informations militaires sur les forces armées des Etats participants de l'OSCE, la Suisse fournit depuis 2004 des informations au sujet d'unités sélectionnées en service de perfectionnement de la troupe (SP trp) et de la Sécurité militaire.
L'évaluation d'unités - en sus de l'inspection d'activités militaires - est l'une des deux possibilités de vérification en tant qu'élément des mesures de confiance et de sécurité. Elle permet à chaque Etat participant de l'OSCE de vérifier sur place - en fonction des quotas définis- les données fournies dans le cadre de l'échange annuel d'informations sur les forces militaires. Pour 2008, la Suisse présente un quota passif de deux visites d'évaluation.
[admin.ch]
Berne, 10.04.2008 - A la demande de la Fédération de Russie, la Sécurité militaire sera évaluée le 10 avril 2008 par trois officiers russes. Cette évaluation a lieu dans le cadre de l'OSCE et repose sur les dispositions concernant les mesures de confiance et de sécurité du Document de Vienne de 1999.
Les emplacements de la Sécurité militaire concernés par la visite du groupe d'évaluation russe sont situés à Berne (quartier général), Yverdon, Savatan et Thoune. Il s'agit en substance de la première évaluation d'une unité suisse cette année.
La visite d'évaluation a lieu au cours d'une journée de travail et dure jusqu'à une douzaine d'heures. L'évaluation de l'unité comprend des informations par les commandants de troupe, des visites à la troupe ainsi que l'évaluation des informations échangées dans le cadre de l'OSCE relatives au personnel, ainsi qu'au nombre et type des systèmes d'armes d'importance majeure disponibles.
Dans le cadre de l'échange réciproque d'informations militaires sur les forces armées des Etats participants de l'OSCE, la Suisse fournit depuis 2004 des informations au sujet d'unités sélectionnées en service de perfectionnement de la troupe (SP trp) et de la Sécurité militaire.
L'évaluation d'unités - en sus de l'inspection d'activités militaires - est l'une des deux possibilités de vérification en tant qu'élément des mesures de confiance et de sécurité. Elle permet à chaque Etat participant de l'OSCE de vérifier sur place - en fonction des quotas définis- les données fournies dans le cadre de l'échange annuel d'informations sur les forces militaires. Pour 2008, la Suisse présente un quota passif de deux visites d'évaluation.
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"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Comme il existe des employeurs qui ne veulent pas d'employés absent 2 ou 3 semaines pour des cours de répetition.Arpentu a écrit :Ou alors tu peux être fiché (qui sait?) en tant que dangereux psychopathe drogué dépressif et j'en passe, et avoir plus de difficultés dans ta vie future pour trouver un travail. Qui engagerait une telle personne?
Raison à laquelle il y a le service longelephant a écrit :Comme il existe des employeurs qui ne veulent pas d'employés absent 2 ou 3 semaines pour des cours de répetition.Arpentu a écrit :Ou alors tu peux être fiché (qui sait?) en tant que dangereux psychopathe drogué dépressif et j'en passe, et avoir plus de difficultés dans ta vie future pour trouver un travail. Qui engagerait une telle personne?
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)