buffon a écrit :Il était hier soir aux sports. C'est vrai qu'il fait du bon bon boulot au bord du lac, on voit que l'équipe a progressé depuis le début de la saison et il amené un nouveau discours plus ambitieux. Preseque un regret son départ de Sion.....
Pkoi presque c'est meme la chose la plus regretable qu'il soit arrivé, et CC en est conscient mais ne le dira jamais
Il avait surtout pas Léo et Lafferty ! Ça change tout... Mais peut être n'était il pas d'accord de jouer à deux attaquant comme CC l'avait décidé avant le mercato déjà...
« Les joueurs qui jouent pour l’argent ne s’impliqueront jamais autant que ceux qui jouent pour l’amour du jeux »The English Games
buffon a écrit :Il était hier soir aux sports. C'est vrai qu'il fait du bon bon boulot au bord du lac, on voit que l'équipe a progressé depuis le début de la saison et il amené un nouveau discours plus ambitieux. Preseque un regret son départ de Sion.....
Pkoi presque c'est meme la chose la plus regretable qu'il soit arrivé, et CC en est conscient mais ne le dira jamais
Football lundi 17 décembre 2012
LE TEMPS, Simon Meier
Jean-François Collet: «On est un peu uniques»
Le président revient sur le bon premier tour du LS. Anti-Constantin par philosophie, il prône calme, rigueur et humilité
Le Temps: Entre la galère servettienne et le Tourbillon sédunois, on se surprend parfois à oublier le Lausanne-Sport. Ça vous agace?
Jean-François Collet: Autant être oublié que de se trouver au cœur de discussions pas très positives. Nous, la dernière fois qu’on a eu des histoires, c’était avec Fabio Celestini [rupture entre le capitaine et ses dirigeants fin 2010], et ça n’était pas agréable. Franchement, si on peut éviter ça…
– Votre regard sur ce premier tour?
– Par rapport à l’année passée, il y a beaucoup d’erreurs qu’on n’a pas rééditées avec Alain Joseph [vice-président]. J’espère que ça va continuer, que ce n’est pas juste de la chance. Mais à 99%, on a pris les bonnes décisions, avec le bon coach [Laurent Roussey], les bons transferts. On sent aussi qu’il y a une bonne ambiance dans le groupe, que les gars ont du plaisir à travailler ensemble. Donc, au-delà de la situation chiffrée, on peut parler d’un très bon premier tour pour Lausanne.
– Vous évoquez vos erreurs de l’an passé. A laquelle pensez-vous en particulier?
– Quand on a engagé Roussey, on a eu une discussion sur la manière dont on allait aborder la campagne de transferts. Laurent nous a dit qu’il fallait prendre le temps, ne surtout pas faire d’erreur. Il a apporté un complément au niveau des réseaux mais, surtout, dans sa façon de voir les choses. Nous, on pensait qu’il fallait faire vite. On a commencé le championnat avec que des jeunes sur le banc et j’étais sous stress avec ça. Mais c’est lui qui avait raison. Avec son expérience, il nous a rassurés: «Hé les gars, ça va aller, ne nous précipitons pas…»
– Donc, pour un président aussi, il y a une marge de progression…
– Elle est énorme! Pourquoi avons-nous commis tant d’erreurs par le passé? Parce que c’était notre première saison en Super League. On ne cesse jamais d’apprendre.
– Depuis votre prise de fonction en 2007, qu’avez-vous appris de plus important?
– J’avais déjà une base puisque j’étais dans le monde du sport depuis quinze ans. Ça m’a aidé au départ, même si je ne connaissais pas le football. C’est un monde plein de préjugés et d’idées reçues, véhiculés par des agents qui te disent: «Si tu ne fais pas comme ça, tu n’as rien compris…» Or, ce milieu ne marche pas, ce modèle économique ne tient pas debout. Là où on a été forts avec Alain, c’est qu’on a remis en question certains de ces principes.
– Par exemple?
– Tout le monde te casse les pieds avec un directeur sportif. Mais ça ne nous aurait rien apporté en l’occurrence, et cela convient parfaitement à Laurent comme ça. Des fois, trop d’avis peuvent nuire… Ensuite, le contrat de l’entraîneur, on le renouvelle d’année en année, alors que d’autres ne jurent que par de longues durées.
– En début de saison, Laurent Roussey s’était un peu insurgé contre le manque d’ambition de ses dirigeants… Le parcours du LS lui donne raison, non?
– Oui, mais une des raisons pour lesquelles nous sommes là où nous en sommes, c’est parce que Laurent Roussey a pu travailler dans un univers serein. Il ne faut pas oublier qu’on a été pas mal de temps avant-derniers en début de saison. Il a pu poursuivre son projet dans la sérénité. Après, ce n’est pas un manque d’ambition. C’est juste qu’on est réalistes, avec un certain esprit, et dans ce sens-là, on est un peu uniques. Je préfère être 8e avec un vrai projet, qui fait la part belle aux jeunes, que 5e avec une équipe de vieux. Aujourd’hui encore, je dois convaincre Laurent que dans le football, il n’y a pas que gagner ou perdre. Les progrès d’un Khelifi, par exemple, ont pour moi une monstre valeur. Sur le plan sentimental, parce que c’est une belle satisfaction et un message pour tous les suivants; et au niveau financier, ça peut être une source de revenus à moyen terme. Si l’entraîneur perd trois matches de suite, on ne le virera pas si on sent qu’il fait évoluer le club, s’il contribue à son équilibre.
– Ce discours est plutôt noble et inhabituel dans le milieu…
– Noble, je ne sais pas… On est surtout réalistes sur le plan économique. On n’a pas les moyens de boucher les trous chaque année, donc on fait juste attention.
– Les sept entraîneurs de Christian Constantin en 2012, qu’est-ce que ça vous inspire?
– Je n’ai pas très envie de porter un jugement là-dessus. Christian Constantin – même si certains journalistes nous ont un peu montés l’un contre l’autre l’an passé, alors que chacun défendait ses propres intérêts – c’est quelqu’un que j’apprécie. Il a une approche différente de la mienne, mais j’ai beaucoup de respect pour lui. Une chose est sûre, il s’est trompé dans le choix de ses entraîneurs. Les responsables, ce ne sont pas les entraîneurs mais celui qui les a choisis. Il raconte toujours son histoire du train et de la locomotive. Mais pour le groupe, ça doit être très dur, tous ces changements, pour garder une logique de travail. Je pense que Christian Constantin a une équipe pour être champion. Mais il pourrait bien ne pas l’être à cause de ça.
– A la Pontaise, en revanche, la vie est désespérément calme…
– C’est un calme tout relatif, parce qu’on travaille dur. On a un projet, il y a des jeunes qui explosent, bien entourés par des joueurs plus expérimentés. Gattuso, Gattuso, Gattuso… J’ai bien aimé récemment un article d’un journal alémanique sur Gabri. Tout le monde parle de Gattuso mais nous on a Gabri. Et la question, c’est: au-delà de l’effet médiatique, quel est le joueur qui a le plus d’impact sur son équipe? La réponse, c’est Gabri. Ça résume assez bien notre politique: on préfère l’efficacité sur le terrain aux côtés plus bling-bling. On nous a aussi proposé dernièrement un champion du monde 2006…
– Non! Qui?
– Je ne peux pas vous le dire… Non, même pas le prénom. De toute façon, ça n’entrait pas dans notre vision.
– Il y aura quand même un petit transfert pour égayer l’hiver à la Plaine du Loup?
– Non, je ne pense pas, même s’il ne faut jamais jurer de rien. Normalement pas. Là non plus, ce n’est pas un manque d’ambition, mais quand tout va bien… Et puis les efforts, on les a faits en début de saison. On a un budget à respecter.
– Une crise interne guette-t-elle? Des dissensions avec Alain Joseph?
– (Il éclate de rire.) Non, non, au contraire. La lune de miel continue.
– Une faillite à l’horizon, alors?
– Non, je ne crois pas. Non, en fait, le seul problème qu’on a, c’est le stade.
– Et vous n’en avez pas marre de ne jamais faire de vagues?
– Non, au contraire, ce n’est pas trop dans ma personnalité. Si la vague est utile, why not? Mais faire des vagues pour faire des vagues…
– Vous arrive-t-il quand même d’avoir quelques rêves de grandeur pour le LS?
– On revient sur la question de l’ambition, là. Je suis désolé, mais c’est ma nature: moi, je n’aime pas être déçu. Là, nous sommes déjà arrivés au-delà de ce que j’imaginais au début. Je préfère toujours avancer pas à pas et avoir une bonne surprise plutôt que d’avoir des grands rêves qui ne se réalisent pas. Le fait est que je suis là depuis plus de cinq ans, et j’ai toujours du plaisir. Avec les activités de Grand Chelem Management, le tennis à Gstaad, ma vie est bien remplie. Le football n’est pas mon seul défouloir – ça aussi c’est un signe particulier. Si demain je ne suis plus président du LS, ce ne sera pas un drame pour moi.
C'est vrai que franchement, ca donne pas superbien. Mais c'est du bon marché, car à Lsne, ils n'ont pas de sous.
En même temps, le supporter st-gallois qui fait le déplacement un jour de pluie est content d'être sous un endroit couvert. Déjà qu'il y a une piste cendrée et un stade mort.....
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
Un peu d' analyse architecturale avant de juger. Observez avec quelle subtilité la couverture se fond dans les Alpes.
J espère que c' est ignifuge sinon gc et saint Gall vont perdre des fans!
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017 CONSTANTIN DEMISSION
Lausanne annonce l'arrivée dans ses rangs du milieu de terrain Malaury Martin (24 ans). Produit du centre de formation de l'AS Monaco, l'ancien international junior français s'est engagé jusqu'au terme de la saison.
Il ne sera pas qualifié pour le match de Super League de ce week-end face à Bâle.
Source: NF
Certaines personnes portent un bonnet Guy Roux, Guy Roux portait un bonnet Zotte3. L'éphémère est beaucoup plus fugitif que l'effet belle-mère
L'arbitre de lausanne-Bâle est scandaleux. Pénalty accordé au Bâlois suite à une faute existante pour lui seul! Bon au vu de la qualité du streaming j'ai peut-être pas fait bien attention, mais pour moi il n'y a rien du tout.
0-2 à l'instant
25.08.2013 Le FC Sion se forge une 2ème légende !! Bravo !!
arnaud a écrit :L'arbitre de lausanne-Bâle est scandaleux. Pénalty accordé au Bâlois suite à une faute existante pour lui seul! Bon au vu de la qualité du streaming j'ai peut-être pas fait bien attention, mais pour moi il n'y a rien du tout.
0-2 à l'instant
pas de penalty pour moi également il y a à peine un effleurement et le joueur tombe....
Rodrigo veut partir
Mis à jour il y a 38 minutes
FOOTBALL – Le Brésilien de 32 ans disputera son dernier match avec Lausanne-Sport mercredi en Coupe de Suisse contre Sion.
Rodrigo a demandé à être libéré de son contrat pour des raisons personnelles.
Le club de la Pontaise a accepté la requête, a indiqué le vice-président Alain Joseph, selon une information de La Télé. Il veut rentrer dans son pays.
(si/Le Matin)
« Les joueurs qui jouent pour l’argent ne s’impliqueront jamais autant que ceux qui jouent pour l’amour du jeux »The English Games
( notre bon vieux tourbillon passe pour un stade flambant neuf à côté de cette horreur.
