Sedunum a écrit :6 ans sans derby à domicile, un samedi soir avec un gros tifo de prévu : aucune excuse. Si les gens ne viennent pas pour un match comme ça, je sais pas ce qu'ils leur faut et ils devraient se remettre en question peut-être. ALLEZ SION !
Ce n’est pourtant pas compliqué : il leur faut juste du spectacle... Ce pourquoi ils ont payé assez, voire bien cher... Servette ou pas...
J'adore le concept policier consistant à retirer les affiches pour diminuer leur visibilité tout en allant commenter la chose dans le NF qui touche tout le canton
\o/ Sortez de la tendance ... Restez dans l'attendance \o/
Red&White a écrit :J'adore le concept policier consistant à retirer les affiches pour diminuer leur visibilité tout en allant commenter la chose dans le NF qui touche tout le canton
L'affichage sauvage étant interdit c'est logique que ces affiches soient retirées donc l'objectif principal n'est pas forcément de diminuer leur visibilité.
Modifié en dernier par Confucius le 25.10.2019 13:14, modifié 1 fois.
________ - Fedele, Kololli, Crettenand, Ga. Karlen, Lacroix, Ed. Fernandes, Follonier, Gr. Karlen, Morgado, Maceiras, Theler : même combat contre la bêtise ! - “Etre pris pour un con par un imbécile est une volupté de fin gourmet” (S.G.)
Red&White a écrit :J'adore le concept policier consistant à retirer les affiches pour diminuer leur visibilité tout en allant commenter la chose dans le NF qui touche tout le canton
L'affichage sauvage étant interdit c'est logique que ces affiches soient retirées.
Oui mais pourquoi le publier dans le journal ensuite ?
Red&White a écrit :J'adore le concept policier consistant à retirer les affiches pour diminuer leur visibilité tout en allant commenter la chose dans le NF qui touche tout le canton
L'affichage sauvage étant interdit c'est logique que ces affiches soient retirées.
Oui mais pourquoi le publier dans le journal ensuite ?
Ce n'est pas la police qui a demandé de publier cela. C'est tout simplement le NF qui fait son travail pour informer ses lecteurs.
________ - Fedele, Kololli, Crettenand, Ga. Karlen, Lacroix, Ed. Fernandes, Follonier, Gr. Karlen, Morgado, Maceiras, Theler : même combat contre la bêtise ! - “Etre pris pour un con par un imbécile est une volupté de fin gourmet” (S.G.)
C'est le cirque habituel et ça ne vole pas plus haut d'un coté que de l'autre.
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Ils relèvent quand même dans la première phrase que pendant 6 ans leur "République Genevoise" était en Challenge League et plus bas qu'ils viennent bien depuis l'étranger. Enfin bon, s'ils ont besoin d'en arriver à la 12e journée pour "montrer qu'ils sont de retour en Super League", je comprends que l'auteur de l'article préfère se faire remarquer par l'humour que par l'analyse des performances de son équipe.
« Murat, si tu veux, c’est un entraîneur-né. Il était fait pour ça, il sent les choses. » (https://goo.gl/x2cGbA)
« Ici à Sion, la préparation d'une demi-finale et finale de Coupe de Suisse incombe au président ! » (https://goo.gl/R1GhMp)
Chers cousins, chers cousines,
Aujourd'hui c'est fête de famille en bas à Sion.
Et vu qu'on organise une fête des cousins chaque 5 ou 6 ans, j'espère qu'on saura être à la hauteur de l'événement.
Comme d'habitude selon la tradition séculaire qui remonte à toujours, vu qu'on est uniquement un Vieux Pays de traditions (les dernières élections l'ont d'ailleurs bien prouvé), on doit inviter un hôte de déshonneur.
Pour cette fête ci, l'hôte de déshonneur est la famille Servette.
La famille Servette est composée de plusieurs membres dont la réussite est assez inégale. Papy Servette, c'est le bourgeois gentilhomme un peu blasé par sa grande vie, sa grande Mercedes noire, son grand bureau en haut de son grand immeuble cossu de la rade.
Papy Servette saute de temps en temps mamie Servette en échange de quelques colliers de perles du Japon ou autres sacs Vuitton. Mamie Servette se fait d'ailleurs dégrossir par un voisin d'origine valaisanne qui lui apporte bien plus de frissons et de sensations fortes que Papy, mais bon, il faut bien se laisser entretenir.
Elle ressent en lui cette virilité un peu sauvage et énigmatique, cette beauté brute et authentique, cette résilience qu'il a apportée dans ses bagages.
Elle ne trouve à Papy qu'arrogance et masque d'apparat.
D'ailleurs, depuis longtemps elle sait que Papy entretient une histoire avec un jeune stagiaire de sa banque.
Les Servette ont deux fils. Le premier a fait HEC et se plaît dans son job de trader. C'est le style requin de la finance qui a marché sur tous ses anciens copains d'études pour amasser le maximum de ce que la vie offre de plus futile.
Il est assez vite parti de Genève pour rejoindre la Grande Pomme. Il trouvait sa ville natale bien trop médiocre pour répondre à ses attentes. D'ailleurs, il ne lui trouvait aucune identité à cette ville, rongée par les affaires d'État vaireuses et colonisée par tous les Emirs du globe cherchant plus à profiter des avantages fiscaux de sa république native plutôt que de son ciel gris, ses bâtiments gris et ses âmes ternes.
Il se disait qu'au final, on est ce que l'ont vit et qu'à force de végéter dans le brouillard et la futilité, les habitants de cette ville en étaient devenus opaques, sans identité. D'ailleurs, il avait peine à trouver un Genevois de souche à qui s'identifier, puisqu'à ses yeux cette identité n'existait pas.
Il rêvait parfois à une excursion qu'il avait faite en Valais où il avait découvert des gens simples, attachés à leur coin de terre, passionnés et fiers. Sans doute le soleil et le vin pensait-il. Mais cette expérience l'avait dérouté parce qu'il y avait trouvé un attachement pour une région, une fierté qui ne reposait ni sur la réussite, ni sur les apparences.
Le grand frère ne viendra malheureusement pas, il est retenu à NY car sa vraie ville de cœur vit jour et nuit.
Le cadet quant à lui a connu quelques difficultés de parcours. Un peu pourri par sa mère délaissée, il a vite eu de mauvaises fréquentations, tolérées au nom de la liberté (ce fameux Calvinisme). Jamais recadré, il est tombé dans le petit brigandage de quartier, le vandalisme et la consommation de toutes sortes de substances lui permettant de s'exploser la cervelle.
Ses copains venus de Lyon et des autres grandes métropoles voisines peuvent lui fournir de tout et en abondance.
La République n'est malheureusement pas notre vert Pays de Cocagne.
Le cadet sera de la fête, et il est fort probable qu'il ait invité ses copains de défonce de l'Héxagone.
Surveillez vos porte-monnaies et les rétros de vos GTI, ils vont vite décrocher aux discussions politiques (il n'y a jamais rien compris puisque Papy ne lui a jamais donné cette passion qui se transmet chez nous).
En sortant de table, ils vont trouver une occupation. Les fourches et râteaux devront être remis à la grange et la porte sera verrouillée.
Drôle de façon pour nous qui avons l'habitude de la quiété de la campagne. Mais c'est ainsi chez les humains qui n'ont pas eu de vrais modèles sur qui se mouler.
Papy et mamy profiteront de cette invitation pour monter au chalet de Nendaz pour dépoussiérer les skis. Ils s'y rendent chaque année durant l'hiver et pour la fête nationale helvétique. Ça leur permet de recharger les batteries pour le restant de l'année et affronter leur morne vie.
En fait, ils seront très heureux de venir chez nous, car malgré leur mépris des gens simples, ils seraient sous anxiolytiques et antidépresseurs sans leur chalet de montagne.
Leur mépris se fonde surtout sur l'envie et la jalousie de notre bonheur simple. Ils seraient incapables de le reproduire, bercés depuis toujours dans le faste et le paraître.
Papy Servette ne sait d'ailleurs pas tenir une pelle à neige tout seul. Une entreprise de la région vient lui faire le job. Mais ça lui donne bonne conscience, il fait marcher l'économie locale.
Chers cousins et cousines de toutes vallées, soyez accueillants avec nos hôtes, montrez-leur que nous sommes bien chez nous.
Soyez vous-même et n'ayez pas honte de votre situation.
La source de notre satisfaction se trouve à l'altitude du vol du gypaète et non pas dans les égouts de Genève. Apprenons leur cette maxime, ils repartiront peut-être heureux ou se laisseront mourir.
Gardez la hauteur!!
SION 1909
Cousin Blonde librement inspiré de "L'oeil du paon" de Lilia Hassaine
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Et maintenant je pars sérieusement travailler à l'écurie !!
A toute
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
m**** alors, un Valaisan qui sait écrire... La consanguinité et la paysannerie ne sont plus ce qu'elles étaient. J'espère au moins qu'il a un goître
tu nous fais honte Blonde
Mr. Blonde a écrit :Chers cousins, chers cousines,
Aujourd'hui c'est fête de famille en bas à Sion.
Et vu qu'on organise une fête des cousins chaque 5 ou 6 ans, j'espère qu'on saura être à la hauteur de l'événement.
Comme d'habitude selon la tradition séculaire qui remonte à toujours, vu qu'on est uniquement un Vieux Pays de traditions (les dernières élections l'ont d'ailleurs bien prouvé), on doit inviter un hôte de déshonneur.
Pour cette fête ci, l'hôte de déshonneur est la famille Servette.
La famille Servette est composée de plusieurs membres dont la réussite est assez inégale. Papy Servette, c'est le bourgeois gentilhomme un peu blasé par sa grande vie, sa grande Mercedes noire, son grand bureau en haut de son grand immeuble cossu de la rade.
Papy Servette saute de temps en temps mamie Servette en échange de quelques colliers de perles du Japon ou autres sacs Vuitton. Mamie Servette se fait d'ailleurs dégrossir par un voisin d'origine valaisanne qui lui apporte bien plus de frissons et de sensations fortes que Papy, mais bon, il faut bien se laisser entretenir.
Elle ressent en lui cette virilité un peu sauvage et énigmatique, cette beauté brute et authentique, cette résilience qu'il a apportée dans ses bagages.
Elle ne trouve à Papy qu'arrogance et masque d'apparat.
D'ailleurs, depuis longtemps elle sait que Papy entretient une histoire avec un jeune stagiaire de sa banque.
Les Servette ont deux fils. Le premier a fait HEC et se plaît dans son job de trader. C'est le style requin de la finance qui a marché sur tous ses anciens copains d'études pour amasser le maximum de ce que la vie offre de plus futile.
Il est assez vite parti de Genève pour rejoindre la Grande Pomme. Il trouvait sa ville natale bien trop médiocre pour répondre à ses attentes. D'ailleurs, il ne lui trouvait aucune identité à cette ville, rongée par les affaires d'État vaireuses et colonisée par tous les Emirs du globe cherchant plus à profiter des avantages fiscaux de sa république native plutôt que de son ciel gris, ses bâtiments gris et ses âmes ternes.
Il se disait qu'au final, on est ce que l'ont vit et qu'à force de végéter dans le brouillard et la futilité, les habitants de cette ville en étaient devenus opaques, sans identité. D'ailleurs, il avait peine à trouver un Genevois de souche à qui s'identifier, puisqu'à ses yeux cette identité n'existait pas.
Il rêvait parfois à une excursion qu'il avait faite en Valais où il avait découvert des gens simples, attachés à leur coin de terre, passionnés et fiers. Sans doute le soleil et le vin pensait-il. Mais cette expérience l'avait dérouté parce qu'il y avait trouvé un attachement pour une région, une fierté qui ne reposait ni sur la réussite, ni sur les apparences.
Le grand frère ne viendra malheureusement pas, il est retenu à NY car sa vraie ville de cœur vit jour et nuit.
Le cadet quant à lui a connu quelques difficultés de parcours. Un peu pourri par sa mère délaissée, il a vite eu de mauvaises fréquentations, tolérées au nom de la liberté (ce fameux Calvinisme). Jamais recadré, il est tombé dans le petit brigandage de quartier, le vandalisme et la consommation de toutes sortes de substances lui permettant de s'exploser la cervelle.
Ses copains venus de Lyon et des autres grandes métropoles voisines peuvent lui fournir de tout et en abondance.
La République n'est malheureusement pas notre vert Pays de Cocagne.
Le cadet sera de la fête, et il est fort probable qu'il ait invité ses copains de défonce de l'Héxagone.
Surveillez vos porte-monnaies et les rétros de vos GTI, ils vont vite décrocher aux discussions politiques (il n'y a jamais rien compris puisque Papy ne lui a jamais donné cette passion qui se transmet chez nous).
En sortant de table, ils vont trouver une occupation. Les fourches et râteaux devront être remis à la grange et la porte sera verrouillée.
Drôle de façon pour nous qui avons l'habitude de la quiété de la campagne. Mais c'est ainsi chez les humains qui n'ont pas eu de vrais modèles sur qui se mouler.
Papy et mamy profiteront de cette invitation pour monter au chalet de Nendaz pour dépoussiérer les skis. Ils s'y rendent chaque année durant l'hiver et pour la fête nationale helvétique. Ça leur permet de recharger les batteries pour le restant de l'année et affronter leur morne vie.
En fait, ils seront très heureux de venir chez nous, car malgré leur mépris des gens simples, ils seraient sous anxiolytiques et antidépresseurs sans leur chalet de montagne.
Leur mépris se fonde surtout sur l'envie et la jalousie de notre bonheur simple. Ils seraient incapables de le reproduire, bercés depuis toujours dans le faste et le paraître.
Papy Servette ne sait d'ailleurs pas tenir une pelle à neige tout seul. Une entreprise de la région vient lui faire le job. Mais ça lui donne bonne conscience, il fait marcher l'économie locale.
Chers cousins et cousines de toutes vallées, soyez accueillants avec nos hôtes, montrez-leur que nous sommes bien chez nous.
Soyez vous-même et n'ayez pas honte de votre situation.
La source de notre satisfaction se trouve à l'altitude du vol du gypaète et non pas dans les égouts de Genève. Apprenons leur cette maxime, ils repartiront peut-être heureux ou se laisseront mourir.
Gardez la hauteur!!
SION 1909
Cousin Blonde librement inspiré de "L'oeil du paon" de Lilia Hassaine
Dis-moi cousin Blonde, ne faut-il voir que du hasard, de la prémonition, où les deux à la fois, dans ta tirade ou ne te serais-tu pas laissé quelque peu dévergondé par Miss Lilia Hass et Haine ???
Parce que même si elle ne se nomme pas Lilia je vais doubler le plaisir à l’occasion des 80 ans de belle-maman demain...
Vu qu'on est à domicile j'aimerais bien voir une association Ukdrikis-Doumbia. Uldrikis plus en 9 et demi et Doumbia en pointe. Utiliser Uldrikis en pointe de fixation pour lancer les ballons soit dans les ailes ou lancer Doumbia en profondeur avec Toma derrière pour lui distribuer les ballons ça peut être intéressant.
buffon a écrit :Vu qu'on est à domicile j'aimerais bien voir une association Ukdrikis-Doumbia. Uldrikis plus en 9 et demi et Doumbia en pointe. Utiliser Uldrikis en pointe de fixation pour lancer les ballons soit dans les ailes ou lancer Doumbia en profondeur avec Toma derrière pour lui distribuer les ballons ça peut être intéressant.
Oui ce serait sans doute une variante intéressante.
Pour ce match il me semble que mis à part le gardien et les quatre défenseurs la titularisation de Toma, Zock et Doumbia ne se discute pas. A voir maintenant ce que Henchoz va prévoir pour les trois autres places du secteur milieu/attaque ....
________ - Fedele, Kololli, Crettenand, Ga. Karlen, Lacroix, Ed. Fernandes, Follonier, Gr. Karlen, Morgado, Maceiras, Theler : même combat contre la bêtise ! - “Etre pris pour un con par un imbécile est une volupté de fin gourmet” (S.G.)
J'espère que ce ne sera pas une formation frileuse qui aura avant tout comme objectif de pas prendre de but...
Servette a une équipe joueuse, qui laisse des espaces, il faut en profiter, ça changera des lugano ultras défensifs...
J’espère voir Toma porter le brassard de capitaine. En l’absence de Kouassi et de Fick c’est lui qui mériterait le plus cet honneur. Toma est déjà porteur du brassard avec l’équipe suisse M21 ce qui n’est pas rien.