jutti a écrit :Faite attention, souvent quand il y a des matchs, la sortie de la praille est fermé !!!
Si vous arrivé 3h avant le match ok !!
Pis pour aller parquer au parking de l'étoile, 30 min avant le match, bonne chance !! entre bouchon, sécu, police etc
1h30 avant ! ça devrait jouer ????
si non il faut aller ou si la sortie est fermée ???
car je sais pas pourquoi mais j'ai le sentiment que ce stade n'est pas conçus pour y aller en voiture
« Les joueurs qui jouent pour l’argent ne s’impliqueront jamais autant que ceux qui jouent pour l’amour du jeux »The English Games
jutti a écrit :Faite attention, souvent quand il y a des matchs, la sortie de la praille est fermé !!!
Si vous arrivé 3h avant le match ok !!
Pis pour aller parquer au parking de l'étoile, 30 min avant le match, bonne chance !! entre bouchon, sécu, police etc
1h30 avant ! ça devrait jouer ????
si non il faut aller ou si la sortie est fermée ???
car je sais pas pourquoi mais j'ai le sentiment que ce stade n'est pas conçus pour y aller en voiture
Non, avec 8 lignes de transports publics dont 4 de trams + 1 halte cff, faut être maso pour s'enfisiquer dans le coin en voiture, ce que fait la majorité des Genevois malgré tout. Surtout que la zone Pont-Butin/La Praille/Carouge bouchonne tous les soirs même sans match...
Après à 2 arrêts de tram de l'Etoile il y a des zones bleues mais faut connaître pour y arriver et il faut payer le tram malgré tout. Ce qui revient quand même moins cher que le P+R très probablement.
Il n'y a que 10 sortes de personnes: ceux qui comprennent le binaire et les autres.
jutti a écrit :Faite attention, souvent quand il y a des matchs, la sortie de la praille est fermé !!!
Si vous arrivé 3h avant le match ok !!
Pis pour aller parquer au parking de l'étoile, 30 min avant le match, bonne chance !! entre bouchon, sécu, police etc
1h30 avant ! ça devrait jouer ????
si non il faut aller ou si la sortie est fermée ???
car je sais pas pourquoi mais j'ai le sentiment que ce stade n'est pas conçus pour y aller en voiture
Tout est indiqué dès que t'arrives à Genève. Faut suivre les panneaux orange, y aura sûrement aussi des policiers pour faire la circulation. Je t'assure que c'est pas dur à arriver. Par contre s'il y a bcp de monde (comme pour Leverkussen l'année passée), tu risque de devoir parquer loin, mais des bus seraient mis à disposition gratuitement entre le parking et le stade.
FOOTBALL. Le FC Sion et Galatasaray disputent, ce soir au Stade de Genève, leur match aller du 1er tour de la Coupe de l'UEFA. En marge de l'événement, plongée au sein d'un club de 5e ligue pas tout à fait comme les autres.
Simon Meier, Jeudi 20 septembre 2007
Rendez-vous était pris avec «deux ou trois joueurs» du FC Turc Lausanne, modeste pensionnaire de 5e ligue, afin d'évoquer la venue de Galatasaray en Suisse - le prestigieux club stanbouliote affronte le FC Sion, ce soir au Stade de Genève, dans le cadre du 1er tour de la Coupe de l'UEFA. Mais à causer football entre les murs blêmes du Centre culturel turc de Renens, on devient vite pote avec tout le monde. Au menu de ce lundi soir: caféine, nicotine et adrénaline. «Chez nous, on vit le foot avec passion et fidélité», note au cœur de la mêlée verbale Yilmaz Tahsin, ancien membre du FC Turc devenu arbitre. «Une victoire peut déclencher la folie et une défaite provoquer un grand malheur.»
Contrairement à bon nombre de ses comparses, qui ont décidé d'annuler l'entraînement hebdomadaire de ce jeudi pour effectuer le déplacement, Yilmaz ne se rendra pas au stade aux côtés des plusieurs milliers de Turcs attendus: «Ma femme et mes enfants y seront mais moi, c'est hors de question! Je ne suivrai même pas la rencontre à la télé. C'est une question de principe, il est exclu que je perde une minute de mon temps avec Galatasaray. Ceux-là, s'ils venaient jouer sous mon balcon, je ne regarderais pas le match...»
Œillade provocatrice et sourire moqueur à l'appui. L'homme est un inconditionnel de Fenerbahçe, rival ancestral des «rouge et jaune», dont les racines sont implantées sur la rive asiatique de la capitale turque. «Tu es jaloux!», rétorque sobrement le gardien de l'équipe, Sahingoz Ahmet, fanatique du «Gala». Contre-attaque immédiate de Yilmaz: «Pour jeudi, j'espère que le meilleur ne gagnera pas: j'aimerais tellement que Sion s'impose...» Quelques vannes plus loin: «De toute façon, l'essentiel est ailleurs. Pourvu que tout se passe bien, que nous ne revivions pas les événements de novembre 2005.»
Nous y voilà, inévitablement. L'accueil hostile qu'avait réservé le public du stade Sükrü Saraçoglu à l'équipe de Suisse, puis le pugilat orchestré par le sélectionneur national Fatih Terim qui avait tristement marqué la fin du barrage qualificatif pour le Mondial 2006, constituent une plaie encore ouverte. «Nous étions tout sauf fiers de ce qui s'est passé ce soir-là», explique le tenancier des lieux. «Ces événements ont causé beaucoup de tort à l'image de notre pays ainsi qu'à nous autres, ici en Suisse.» Yildiz Serkan, entraîneur du FC Turc Lausanne, intervient: «Notre image de sales Turcs, nous l'avions déjà avant tout ça. Je me rappelle notre arrivée dans certains villages vaudois. En face, les gars croyaient qu'on venait pour se battre, pas pour jouer au foot. Nous avons toujours (ndlr: le club a été fondé en 1980) été mal vus.»
Soudain, la bonne humeur ambiante en prend un sacré coup. Les regards se font plus sombres. Malgré tous les efforts d'intégration, certains clichés nauséabonds ont la dent dure. «Le club a parfois eu des problèmes avec des arbitres en fin de match», admet volontiers Yildiz Niyazi, qui a repris la présidence il y a deux ans, justement au terme d'une saison mouvementée sur le plan disciplinaire. «L'équipe était alors dans le haut du tableau en 3e ligue, mais il a fallu faire le ménage au sein de l'effectif», explique-t-il sans entrer dans les détails. «Relégués l'an passé, nous abordons cette nouvelle saison (ndlr: une victoire et une défaite jusqu'ici, avant le match de dimanche à Rolle) avec un seul objectif: soigner notre image et gagner la coupe du fair-play, même s'ils ne la donnent jamais à un club étranger...»
Unique pôle footballistique turc en Romandie, le club peine pourtant à se développer. Une trentaine de spectateurs suit l'équipe, composée de dix-huit joueurs âgés de 16 à 43 ans, pour la plupart doubles nationaux. «En comptant ceux qui ne sont pas déclarés, il y a près de 100000 Turcs en Suisse. Si nous parvenions à rassembler les énergies, nous serions au moins en 2e ligue», estime Yildiz Niyazi. «Au lieu de cela, nous avons du mal à payer les factures. En 27 ans, nous n'avons jamais eu le moindre sponsor.» Yilmaz Tahsin rebondit: «Avec tous les billets d'avion qu'on leur achète, Turkish Airlines pourrait faire un petit geste. Mais nos sollicitations restent sans réponse.»
Ainsi va la vie pour le FC Turc Lausanne. Galatasaray, qui est historiquement le club des aristocrates et des nantis à Istanbul, par opposition au Besiktas, favori des couches ouvrières, n'a évidemment pas le même genre de soucis. Leader de son championnat avec six victoires et un match nul - 18 buts marqués, 4 reçus -, l'équipe dirigée par l'Allemand Karl-Heinz Feldkamp aborde la confrontation face au FC Sion avec les nettes faveurs de la cote. «Je suis certain qu'ils vont passer ce tour», assène Yildiz Serkan. «Rien qu'avec la valeur de l'attaquant Lincoln (ndlr: transfuge brésilien en provenance de Schalke 04), Galatasaray pourrait racheter l'ensemble du club valaisan.»
[Le Temps 2007]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
«Rien qu'avec la valeur de l'attaquant Lincoln (ndlr: transfuge brésilien en provenance de Schalke 04), Galatasaray pourrait racheter l'ensemble du club valaisan.»
impressionnant mais l'argent ne fait pas tout, à nous de le leur prouver ce soir. HOP SION
le plus impressionnant reste la différence de budget (15 millions contre 150 millions) mais c'est clair qu'on sera encore plus fier de notre qualification en sachant ça
La pression ne nous a jamais fait peur en Valais !
Blonde 25 ou Guiness, Cardinal ou Feldschlössen, on boit même de la Valaisanne si il le faut !
Sinon pour ce soir, c'est la surprise et 3 à 0 par Adhesina, Zaki et Païto !
Tout ça devant 13'500 spectateurs dont 4'500 Turcos environ, plus deux Kurdes. Et Sükür sera la tête de Turque des Turque tellement il sera à côté de ses pompes devant le match parfait de notre défense.