[Equipe nationale] : votre compo

Discussions sur la Nati et le football suisse.
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David
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Message par David »

Dans l'optique de l'euro, je verais tout de même une equipe pas trop trop jeune et expérimentée:

-----------------Benaglio-------------------- (Zubi-Coltorti)
Degen-----Mueller---Senderos---Magnin (senderos-spycher)
-----------------Celestini------------------ (Dzemaili)
----Wicky-------Yakin------Margairaz--- (Degen-Barnetta-Rega)
-----------Frei---------NKufo------------- (Streller-Esteban)

On verra se que nous réserve le clown pleureur KK (ou alors Hitzfeld :love: )
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Message par nufc »

Football: la Suisse en quête de sérénité en Floride

BERNE - L'équipe de Suisse amorce aux Etats-Unis un moment charnière sur la route de l'Euro 2008. En proie au doute et aux critiques depuis l'élimination contre l'Ukraine à la Coupe du monde, la troupe de Köbi Kuhn part ce lundi en quête de sérénité et de cohésion sous le soleil de Floride.

Une semaine. Soit le temps imparti au sélectionneur national pour raviver la flamme de son groupe et retrouver cet état d'esprit qui avait (presque) permis de renverser des montagnes depuis l'automne 2002. Comme examen pratique, la Suisse se frottera à l'exotisme de la Jamaïque (jeudi 22 à Fort Lauderdale, 00h45 heure suisse) et de la Colombie (dimanche 25 à Miami, 19h30 heure suisse).

Il s'agit avant tout de mettre fin à l'inquiétante série de trois revers consécutifs, subis contre l'Autriche, le Brésil et l'Allemagne. Si les Helvètes n'ont certes pas à rougir de défaites contre les deux multiples champions du monde, c'est surtout leur impuissance et la médiocrité de leur jeu qui suscitent les plus grandes craintes pour l'avenir.

Köbi Kuhn l'a bien compris et ne s'est pas privé de réagir. Le sélectionneur national, dans un sursaut d'autoritarisme dont les motivations réelles peuvent encore paraître un peu floues, a commencé de faire le ménage, renvoyant sine die son capitaine Johann Vogel.L'ambiance au sein de la sélection sera à coup sûr un des grands enjeux du camp en Floride. En cas de nouvelles discordes entre les joueurs, Köbi Kuhn pourrait voir sa position encore plus fragilisée qu'elle ne l'a déjà été ces derniers mois.

Mais les défis de l'équipe nationale en Floride ne concerneront pas uniquement l'état d'esprit. Elle devra en effet rassurer sur le terrain, face à des équipes qui, si elles ne sont pas aussi prestigieuses que le Brésil, l'Allemagne ou encore l'Argentine et les Pays-Bas - qui viendront en Suisse cet été -, peuvent être des adversaires malcommodes.

(ats / 19 mars 2007 09:43)
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Message par nufc »

Football: l'équipe de Suisse fait des mystères

MIAMI - L'équipe de Suisse est bien arrivée, lundi soir, en Floride. Elle y passera neuf jours. Après les secousses des dernières semaines, relatives notamment au renvoi de Johann Vogel, Köbi Kuhn a voulu isoler son groupe du reste du monde durant les premières heures du camp de l'équipe nationale.

Contrairement à son habitude, la Suisse a voyagé seule entre Zurich et la Floride. L'ASF a loué un charter privé dans lequel ne se sont retrouvés que les joueurs, les membres du staff et les officiels. Ainsi, la presse n'a que très furtivement aperçu les joueurs à l'aéroport de Kloten, lundi matin.

Mardi, deux séances d'entraînement étaient prévues dans le Lockhart Stadium de Fort Lauderdale. Toutefois, la décision d'annuler celle du matin tombait tard dans la soirée de lundi, ajoutant encore un peu plus de mystère aux événements survenus depuis le départ de Suisse. La mise au point entre joueurs et entraîneurs a-t-elle fait des dégâts ? Tout est-il rentré dans l'ordre ? La situation s'est-elle dégradée ? Tant de questions qui restent, pour le moment, sans réponse.

Seule certitude, sur les 23 sélectionnés, 22 sont arrivés à bon port. Il ne manquait que Ricardo Cabanas, qui jouait encore en 2e Bundesliga lundi soir contre Hansa Rostock (1-1) et qui rejoindra le groupe dans la journée de mardi.

(ats / 20 mars 2007 13:31)
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Steven
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Message par Steven »

Il joue de nouveau Cabanas?
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Message par supp_séd »

Steven a écrit :Il joue de nouveau Cabanas?
J'ai cru comprendre que oui...
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Message par nufc »

Football: Kuhn s'affirme en patron

FORT LAUDERDALE - C'est un Köbi Kuhn visiblement serein qui a répondu à la presse à Fort Lauderdale. Le sélectionneur national s'est affirmé comme le véritable patron du groupe, comme il l'avait fait début mars en annonçant l'éviction de Johann Vogel. Côté pratique, il n'a toutefois pas encore arrêté sa décision concernant le nouveau capitaine.

Köbi Kuhn a confirmé avoir eu une discussion avec les joueurs mardi matin, où il est bien évidemment revenu sur l'affaire Vogel. "En fait, c'était plus un monologue qu'une discussion", nuance le Zurichois. "Il s'agissait d'un moment où c'est au sélectionneur de parler. Mais je ne vous dirai pas la teneur des propos. Ce sont des choses qui doivent rester dans l'équipe."

Calme et détendu, Köbi Kuhn a ainsi tout simplement réaffirmé son autorité, comme en évoquant le choix du nouveau capitaine de l'équipe. "Dans ce cas, ce ne doit pas être un monologue du sélectionneur, mais une discussion avec les joueurs. Quand nous aurons fait le tour, je prendrai la décision." Des pistes ? "Rien n'est encore définitif", répond le sélectionneur. "D'ailleurs, il est possible que celui qui portera le brassard contre la Jamaïque ne soit qu'une solution passagère. Tout reste ouvert. Je lis les journaux, qui me disent quel joueur aurait le profil idéal...", ironise-t-il dans un sourire.

(ats / 20 mars 2007 21:30)
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Message par Kubi_nu11 »

Steven a écrit :Il joue de nouveau Cabanas?
Oui ca fait minimum 2 matchs qu' il joue comme titulaire :-)



Copier/coller depuis sam-swiss.ch:
J' espere vraiment que Vonlanthen aura sa chance avec la NATI. Maintenant qu' il commence a se donner a fond a l' entrainement, je pense qu' il peut etre la solution que l' on cherche devant pour epauler Mister Frei. Un joli petit but de Vonlanthen qui montre ses qualitees et pourquoi je pense qu' il est complementaire avec Alex. Frei le renard et Vonlanthen avec ses dribbles et sa vitesse ca pourrait faire mal surtout en soutiens de Frei. La place ou il joue avec les Redbulls et la place que Yakin avait contre l' Ukraine.



Vous voulez voire quelle equipe vous sur le terrain? Voici ma composition:

Behrami--------Senderos------Muller--------- Magnin
----------------------------Cabanas
Barnetta-----------------------------------------Margairaz
----------------------Yakin
------------------------------------Vonlanthen

--------------------------------Frei

C' est ma solution offensive mais pour faire quelques chose de plus defensif style:

Degen--------Senderos------Muller--------- Magnin
----------------------------Dzemaili
Barnetta-----------------------------------------Cabanas
----------------------Margairaz
------------------------------------Vonlanthen

--------------------------------Frei


Je met Senderos a la place de Djourou car il faut qu' il retrouve confiance.
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Message par nufc »

Equipe de Suisse, chronique d'une lente déliquescence

FOOTBALL. Les joyeux souvenirs de l'été dernier se sont vite évanouis sous une cascade de doutes. En stage en Floride, où elle affrontera jeudi la Jamaïque, la Nati est toujours à la recherche d'un deuxième souffle. Celui qui doit la projeter vers «son» Euro 2008.

Simon Meier, Mercredi 21 mars 2007

Charter privé lundi à Kloten, première séance d'entraînement annulée mardi à Fort Lauderdale... L'expédition floridienne de l'équipe de Suisse a, dans un premier temps, pris des airs de camp retranché. D'abord désireux de laver son linge sale en famille, Köbi Kuhn s'est ensuite exprimé face à la meute des médias, avide de révélations.

Le résultat? Enième variation sur un thème archiconnu. «Après la Coupe du monde, les joueurs ont peut-être cru que tout allait de soi», a déclaré le Zurichois à l'agence Sportinformation. Concernant l'éviction de Johann Vogel: «J'en ai parlé aux joueurs, mais c'était plus un monologue qu'une discussion.» A propos du futur capitaine: «Quand nous aurons fait le tour des candidats, je prendrai une décision. Rien n'est définitif.» La façon d'aborder le double rendez-vous, jeudi face à la Jamaïque et dimanche devant la Colombie? «Chaque membre de l'équipe nationale est sous pression, moi aussi. Nous devons retrouver le goût de la victoire.»

Plutôt tièdes, les mots du sélectionneur contrastent avec la gravité de la situation. En attendant le réveil concret des joueurs sur le terrain, retour en quatre épisodes sur une inexorable décompression.

• Le traumatisme ukrainien (Cologne, 26 juin 2006)

Et soudain, la déferlante rouge se brise contre un mur jaune. Les joueurs de l'équipe de Suisse s'effondrent comme un seul homme. «Cette défaite restera toujours quelque part.» Une poignée de minutes après le non-match mortifiant face à l'Ukraine en huitièmes de finale du Mondial allemand, Köbi Kuhn, prophète de la nation, ne tait pas l'évidence. Prendre un tel coup de massue sur le coin de la figure ne peut que laisser des traces.

Neuf mois plus tard, on mesure beaucoup mieux l'ampleur des dégâts. Et si le blocage collectif de ce 26 juin 2006, achevé dans les souffrances d'une «mémorable» séance de tirs au but, avait marqué le début de la fin? Et si ce soir-là, le souffle d'un groupe jusqu'ici enthousiaste et solidaire avait définitivement été coupé? En tout cas, le choc émotionnel est ancré dans la boîte noire de tous ceux qui l'ont vécu. Il est lié à une formidable occasion manquée de participer à un quart de finale de Coupe du monde.

On pensait que le traumatisme rendrait les individualités plus fortes. On espérait que l'expérience, ce viatique essentiel qui se paie plutôt qu'il ne s'achète, ferait avancer le groupe. Aujourd'hui, les mots du sélectionneur prennent un sens inquiétant: «Cette défaite restera toujours quelque part.»

• Le retour des moribonds (Vaduz, 16 août 2006)

Les flonflons de la fête tintent encore. Et pourtant... L'été et son cortège d'émotions ne sont pas encore terminés que, déjà, surgissent les embrouilles. «Grâce» au quotidien Blick, on apprend qu'au soir de Suisse-Ukraine, les commentaires sarcastiques de Johann Vogel envers les tireurs de penalty ont provoqué un début d'empoignade dans le car helvétique. Info ou intox? Toujours est-il que dans les salons du Grand Hotel Hof de Bad Ragaz, la rumeur fait état de tensions entre le clan Vogel et la bande de Frei.

Sur le terrain, la victoire (3-0) devant un très faible Liechtenstein sauve les apparences. Mais le cœur n'y est pas. Quoi de plus normal, au fond, après tant de services rendus à la patrie? Personne ne se fait de mouron: la flamme reviendra en temps voulu. Köbi Kuhn, lui, active son soufflet en direction d'un tapis de cendres: «Maintenant, il est important de couper avec ce Mondial. Tous les joueurs doivent comprendre que d'ici à juin 2008, ils ne disputeront pas des rencontres amicales mais des matches de qualification pour l'Euro.»

Le discours trouvera un prolongement très relatif lors des succès du mois de septembre face au Venezuela (1-0) puis devant le Costa Rica (2-0). Les flonflons font mine de subsister, mais les quolibets ne sont plus très loin. Ainsi va le football de haut niveau.

• Le trou noir (Innsbruck, 11 octobre 2006)

«A Innsbruck, nous avons sans doute livré notre pire prestation depuis le début de l'ère Kuhn (ndlr: en 2001). L'esprit et la solidarité qui avaient fait notre force jusqu'ici ne sont plus là.» Le constat, signé Ludovic Magnin, a le mérite d'être clair. Et le latéral gauche de la Nati n'exagère pas. Dans le décor fantomatique d'un stade Tivoli-NEU en chantier, les Suisses s'adaptent et sombrent. La défaite (1-2) face à l'Autriche est une chose. Mais la placidité et la suffisance avec laquelle la sélection nationale accepte son sort déconcertent. «Après une campagne aussi intense que celle du Mondial 2006, cette décompression me semble logique», lâche Köbi Kuhn. «Lorsque tout le monde n'est pas prêt à donner le maximum, nous redevenons une équipe moyenne.»

Juste. Quid de l'émulation annoncée, du jeu de la concurrence promis par le Zurichois? «Je n'ai pas un réservoir immense», se défend-il, irrité. «Si vous connaissez une vingtaine d'autres éléments capables de jouer pour la Suisse, montrez-les-moi et je change l'équipe tout de suite!»

Comme tout le monde sur cette planète, Köbi Kuhn compose avec ce qu'il a. Ni la défaite honorable (1-2) du 15 novembre contre le Brésil «B», ni, surtout, la leçon reçue le 7 février en Allemagne (1-3), ne viennent éclaircir le tableau noir.

• Le coup de semonce (Zurich, 8 mars 2007)

Köbi Kuhn, volontiers considéré comme le grand-père peinard de tous les Helvètes, a perdu de sa superbe. Pour tout dire, le «Suisse de l'année 2006» observe son piédestal en contre-plongée. Le changement de statut est brutal, la réaction itou. Verdict: fragilisé, le Zurichois éjecte son capitaine Johann Vogel, l'homme autour duquel il a basé son système, soudé sa famille. Argument: le Genevois du Betis Séville, qui ne remplit plus sa fonction de patron du vestiaire, aurait critiqué le coach auprès d'un journaliste... du Blick. Gros hic: Kuhn, qui a toujours mis en avant des valeurs comme le respect, la confiance, le dialogue et la solidarité, vire la pierre angulaire de l'édifice au téléphone et sans consulter les cadres de l'équipe.

A-t-il cédé aux pressions de l'influent journal de boulevard zurichois? Pour lui, espérons que non. Avait-il besoin de faire sauter un fusible afin de réaffirmer son autorité sur un groupe à la réceptivité réduite? L'hypothèse fait grand sens. Dans tous les cas, l'heure de vérité approche pour le sélectionneur. «Nous sommes à quinze mois de l'Euro 2008, la préparation commence pour chacun», ressassait-il mardi dans la Neue Luzerner Zeitung. «Il n'y a pas de place pour le romantisme. Dans le sport professionnel, tout ce qui a été atteint ne sert à rien pour l'avenir. Il s'agit désormais d'amorcer un nouveau départ.»

En effet. L'ennui, c'est que le discours n'a pas varié d'un iota depuis le mois d'août dernier à Vaduz.

[Le Temps 2007]
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Football: La Suisse doit retrouver le chemin de la victoire

FORT LAUDERDALE - L'équipe de Suisse doit impérativement renouer avec le succès jeudi, contre la Jamaïque (00h15 heure suisse), dans le Lockhart Stadium de Fort Lauderdale. La troupe de Köbi Kuhn, battue lors de ses trois dernières sorties, affrontera un adversaire contre lequel elle partira largement favorite.

Il s'agit, à quinze mois de l'Euro 2008, de mettre enfin un terme à la spirale négative dans laquelle elle se trouve. Les "Reggae Boyz" constituent le premier obstacle sur le chemin d'une Suisse en quête de renouveau. Un match largement à la portée de la formation de Köbi Kuhn, puisque Bora Milutinovic n'a pas retenu les meilleurs joueurs de l'île - pour la plupart évoluant en Angleterre - mais plutôt de jeunes espoirs, qu'il faudra tout de même prendre au sérieux pour éviter tout accident qui pourrait, dans les circonstances actuelles, virer au drame.

"Je veux recommencer à gagner !", lâche un Alexander Frei déterminé. "Je n'ai pas l'habitude de perdre beaucoup de matches depuis que je joue en équipe nationale. Nous devons retrouver cette sensation, c'est très important pour nous." L'avant-centre de Dortmund ne cache pas le fait que la Suisse n'est pas au mieux depuis quelques temps. "Tous les joueurs ne savent pas comment se situer depuis les derniers événements qui ont ébranlé l'équipe. Mais l'avantage avec ce camp en Floride est que nous avons encore le temps pour discuter des problèmes, s'il en subsiste."

Pour Alberto Regazzoni, problème il n'y a pas. L'ailier tessinois espère simplement jouer et frapper un grand coup contre la Jamaïque. "Le groupe est bien, rien à dire. Il y a des tensions, comme partout. Mais ce n'est pas grave. L'ambiance est excellente. Et nous vivons une belle aventure: construire quelque chose ensemble, installer des rapports forts entre nous. Tout cela est très positif."

L'équipe probable: Coltorti; P. Degen, Senderos, Müller, Magnin; Dzemaili; Behrami, Margairaz, Barnetta; Yakin; Frei.

(ats / 21 mars 2007 17:46)
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Football: bonne ambiance dans l'équipe nationale, selon Senderos

FORT LAUDERDALE - Philippe Senderos (22 ans) fait déjà partie, de par son talent et son charisme, des cadres incontournables de la sélection suisse. Le Genevois d'Arsenal évoque l'équipe nationale au soleil et sur la plage de son hôtel à Fort Lauderdale.

Question: On ne peut pas échapper à cette question en ce moment, Philippe, quelle est l'ambiance au sein de l'équipe de Suisse ?

Réponse: "Mais elle est très bonne (il soupire). Entre les joueurs, tout se passe à merveille. Il n'y a jamais eu de problèmes."

Q: Les circonstances actuelles sont quand même particulières...

R: "Ce que je peux dire, c'est que j'éprouve toujours un très grand plaisir à rejoindre l'équipe de Suisse et retrouver mes potes."

Q: Il y a quand même quelques accrochages de temps en temps, y compris sur le terrain...

R: "Mais c'est normal. (Il réfléchit) Nous voulons tous gagner et donner le meilleur de nous. A l'entraînement comme en match. Donc, parfois, il y a des réactions un peu vives. C'est préférable d'avoir une équipe faite de joueurs qui en veulent plutôt que le contraire, plutôt que des gars qui n'en ont rien à faire."

Q: Mardi matin, Köbi Kuhn a parlé des soucis actuels de l'équipe de Suisse, notamment du cas Vogel. La discussion a-t-elle porté ses fruits ?

R: "Les choses sont simples: l'entraîneur a pris sa décision et nous l'a expliquée. A nous de continuer d'aller de l'avant, sans penser au passé."

Q: Avec trois défaites de rang, ressentez-vous une tension particulière avant de rencontre la Jamaïque et la Colombie ?

R: "Une tension... (il hésite) Non, pas une tension. C'est surtout le fait qu'il nous manque quelque chose: la motivation. C'est difficile, car nous n'avons pas de matches officiels. En fait, nous ne sommes pas sous pression, mais plutôt nous manquons de pression, de rencontres qualificatives à enjeu qui nous maintiendraient sous tension."

(ats / 22 mars 2007 14:44)
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