FC Sion 4 ever

FB-1907 a écrit :C'est quelle chaine Suisse qui montre le matche ? La chaine Turc qui diffuse est crypté

Sinon je voulais savoir comment Sion allait jouer, est-ce qu'ils vont défendre et jouer les contres où essayer vraiment de joeur leur football ? Une équipe qui se ferme peut nous causé beaucoup de problème vu qu'on a une défense plutot lente, les contres peuvent nous faire mal. Si Sion décide jouer à fond histoire de prendre un avantage à l'aller, là on devrait avoir moins de mal.

FB-1907 a écrit :C'est quelle chaine Suisse qui montre le matche ? La chaine Turc qui diffuse est crypté

SN a écrit :

FB-1907 a écrit :C'est quelle chaine Suisse qui montre le matche ? La chaine Turc qui diffuse est crypté

TSR-2. Il ne devrait y avoir qu'une coupure le temps du 200 m.

nemesis2410 a écrit :

SN a écrit :

FB-1907 a écrit :C'est quelle chaine Suisse qui montre le matche ? La chaine Turc qui diffuse est crypté

TSR-2. Il ne devrait y avoir qu'une coupure le temps du 200 m.

J'ajoute juste que le 200m est agendé à 20h35, donc au tout début du match. .. 19 secondes et des poussières et ça sera plié

JaY-C19 a écrit :Non, non c'est bien 20h35!

18h05 - Décathlon Javelot Homme
18h10 - Qualifications Groupe A Longueur Homme
18h15 - Qualifications Groupe B Longueur Homme
18h15 - Demi-finales 110m haies Homme
18h55 - Séries 5000m Homme
19h10 - Finale Hauteur Femme
19h50 - Demi-finales 200m Femme
20h15 - Finale 400m haies Femme
20h35 - Finale 200m Homme
20h55 - Finale 110m haies Homme

flavs a écrit :environ 34degrés sur Sion et 35degrés sur Geneve

Tourbillonator a écrit :Déjà beaucoup de jaune et bleu à l autre bout du lac.

flavs a écrit :environ 34degrés sur Sion et 35degrés sur Geneve

zo a écrit :t'as des commissions sur les entrées Flavs ?

zo a écrit :t'as des commissions sur les entrées Flavs ?

zo a écrit :t'as des commissions sur les entrées Flavs ?

Valesgo a écrit :N'oubliez pas que la bière sera sans alcool ce soir à la Praille, et que les cantines du stade ne suivent ni dans la qualité ni dans le temps de service !
Donc pensez à amener votre propre munition, à suffisamment vous hydrater et à grignoter hors stade.

Question température, même à 20h30, elle devrait encore fleurter avec les 29-30 ° C !
Bon match à tous et

RIP Fener

zo a écrit :t'as des commissions sur les entrées Flavs ?

Wikipedia a écrit :L'astroturfing en anglais américain est un néologisme pour les campagnes de relation publiques formelles en politique et publicité qui cherchent à créer l'impression d'un comportement « grassroots » (« qui prend ses racines dans l'herbe » en anglais) spontané, en référence à l'herbe artificielle, utilisée dans les stades, appelée AstroTurf.
Le but de ce type de campagne est de déguiser des efforts d'entité politiques ou commerciales en réaction de public indépendant à une entité politique (un politicien, un groupe politique, un produit, un service ou un événement). Les astroturfers tentent d'orchestrer des actions qui semblent provenir d'individus divers et dispersés géographiquement et utilisent des méthodes de désinformation. L'astroturfing peut être pratiqué par une personne seule selon un agenda préétabli ou par des groupes professionnels organisés, ayant des appuis financiers de grosses entreprises ou d'organisations activistes ou non-lucratives. Très souvent, l‘organisation est gérée par des consultants politiques spécialisés dans la recherche en opposition.

zo a écrit :Massimo on t'as reconnu

Le Matin a écrit :Jamal joue aussi pour Adam

Jamal Alioui a profité de quelques moments de détente hier après-midi. Au bord du lac ou dans sa chambre d'hôtel. Où il n'a pas manqué l'occasion d'admirer la photo de son petit Adam.

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Papa depuis 25 jours, Alioui ne quitte jamais son fils, dont l'image le suit partout. Le défenseur du FC Sion aura fort à faire devant l'ogre Fenerbahçe. Mais refuse de se laisser impressionner...

Nicolas Jacquier - le 19 août 2009, 22h36
Le Matin

Europa League
Prangins (VD)

Sur le rectangle de la Praille, le «petit» FC Sion s'apprête à défier un poids lourd européen.

Quinze fois supérieur à celui du club valaisan, le seul budget de Fenerbahçe - 220 millions contre 15 millions à son adversaire du soir - suffit à traduire la puissance financière du club turc, entré en Bourse en 2004. Avec Roberto Carlos, son champion du monde, et ses autres stars (Güiza, Emre, Kazim, etc.), le Fener évolue sur une autre planète.

Les deux mondes se rejoindront-ils? Jamal Alioui en est persuadé: «On a tout ce qu'il faut pour passer. Pourquoi n'irait-on pas plus loin?» (s')interroge le Français, dont le rôle sera prépondérant. A lui, avec Chihab, de tenir - plus solidement - la baraque...

Hier matin, Jamal a quitté avec un pincement au coeur son épouse, Aurélie, et leur très jeune fils, Adam, né le 26 juillet dernier. «C'était comme un déchirement. Sur le moment, j'ai eu le sentiment de les abandonner.»

Après avoir vogué sur les eaux calmes du Léman, Alioui, Marin & Cie ont accosté au débarcadère de Nyon. Avant de rejoindre - en car - le bien nommé hôtel La Barcarolle, situé au bord du lac. Dans la chambre du défenseur, Adam et Aurélie ne sont pas loin. «J'ai constamment leur photo avec moi. La naissance de notre fils m'a changé. J'ai de nouvelles responsabilités que j'aime. Etre papa, ce n'est que du bonheur», assure le Federer du FC Sion.

Mais ce que le No 8 de Tourbillon sait aussi, c'est qu'il conviendra, sur la pelouse, d'éviter les erreurs qui ont déjà coûté si cher à Sion en championnat (avec 5 points perdus entre la 89e et la 93e minute). «A nous de ne pas répéter les mêmes erreurs. A ce niveau-là, une erreur, c'est but à 90%. Ça ne pardonne pas. Cette fois, il faudra jouer en équipe, en bloc compact. Et ne pas partir à l'abordage dès l'instant où l'on sait que l'on se créera de toute manière des occasions. A nous d'être aussi patients qu'intelligents.»

En fin d'après-midi, Jamal Alioui (28 ans) allait retrouver la Praille et son chaudron. Pour une prise de température d'un match qui s'annonce chaud au propre comme au figuré. «Je n'ai pas oublié qu'en 2007, on menait 3-0 contre Galatasaray après 25 minutes! Alors pourquoi être impressionné? Les Turcs vont certainement nous prendre de haut.» Au fait, que serait un bon résultat pour le FC Sion? «Une victoire, pardi!» Depuis la naissance de son fils, Jamal nage dans l'optimisme. Il a raison.

En bateau jusqu'à Nyon!
Afin de renforcer son esprit d'équipe et... éviter aussi les bouchons de l'autoroute, Sion s'est offert hier une petite croisière matinale. Parti à 9h30 du Bouveret (VS), le «Lavaux» a accosté 2h10 plus tard à Nyon.

A bord de cette course spéciale de la CGN: les joueurs et tout le staff ont pris le petit-déjeuner avant de visionner de larges extraits de leur victoire en finale de la Coupe de Suisse contre YB. «C'était une manière de rappeler comment on en était arrivés jusqu'ici et pourquoi il ne fallait pas en rester là», explique le... capitaine Christian Constantin.

Avant sa finale victorieuse, Sion s'était déjà offert une excursion sur le lac de Thoune couronnée de succès. «En réunissant ainsi le groupe, cela permet à chacun de prendre conscience de l'événement à venir (...) On possède un beau vélo, il faut désormais tous pédaler dans le même sens pour éviter la crevaison!»

Hier matin, la croisière s'amusait encore. Et vogue la galère! Jusqu'à Istanbul ou... plus loin?

Le Nouvelliste a écrit :LES ÉTÉS TURCS DE THOLOT
20 août 2009 - STÉPHANE FOURNIER - Aucun commentaire
SION - FENERBAHÇELe Français joue avec l'équipe valaisanne contre Galatasaray en 1997. Il affronte une autre formation stambouliote en tant qu'entraîneur douze ans plus tard.


Le destin européen de Didier Tholot se lie avec la Turquie. Christian Constantin recrute l'attaquant français durant l'été 1997 dans l'ambition de se qualifier pour la phase de poules de la ligue des champions. L'adversaire en éliminatoire débarque d'Istanbul, il s'appelle Galatasaray.

Douze ans plus tard, Constantin préside toujours, Tholot entraîne. Une équipe turque les sépare d'une participation aux matches de groupes de l'Europa League.

Fenerbahçe arrive de la rive asiatique du Bosphore, il disputera la première manche des play-offs de la compétition ce soir à Genève contre la formation valaisanne (20 h 30).

«Comparer les deux événements est très difficile», confie Tholot. «Contre Galatasaray, je sors d'une finale de coupe UEFA avec Bordeaux. Tout le monde à Sion ne parle que de cette ligue des champions et l'on rate complètement notre entame de match. Je manque une occasion, Milton met un autobut, Eydelie est expulsé. Au bout de vingt minutes, tu te dis dans ta tête que c'est fini.» 1-4 à Tourbillon, résultat identique à Istanbul, la ligue des champions se joue sans Sion.

Le rappel de la coupe
Tholot n'est pas rancunier. «Je me suis rendu en Turquie pour les vacances l'année suivante, dans un village du club Méditerranée dans le sud.» Le troisième voyage aux portes de l'Asie promet peu d'agrément. «Si tu ne crois pas que la qualification est possible, tu ne rentres pas sur le terrain. Ce sera dur, on le sait. Sur la durée d'un championnat Fenerbahçe serait devant nous. Une confrontation sur deux manches permet de réduire l'écart et même d'être supérieur. Nous l'avons prouvé en finale de coupe. Tout jouait contre nous: un terrain synthétique, un adversaire installé aux premières places du classement et un déficit de deux buts après une demi-heure. Mentalement, ces compétitions t'incitent à faire plus, à évoluer de manière encore plus collective.»

Le tirage aurait pu se montrer plus clément. «J'ai laissé échapper un m... comme tout le monde quand le nom de Fenerbahçe est sorti, vu les adversaires possibles. Se lamenter ne conduit nulle part. Mon équipe a du coeur, de la volonté. Il lui faut un petit plus pour passer l'obstacle.»

Plusieurs joueurs se sont retrouvés au sol, victimes de crampes, contre Zurich samedi. «Nous produisons trop d'efforts dans le vide, ça représente trente pour cent d'énergie dépensée inutilement et nous le payons en fin de match», déplore Didier Tholot. «La correction passe par plus de lucidité, par plus d'agressivité et par un groupe plus compact sur le terrain. En résumé, nous devons plus jouer avec la tête.» Le technicien français reparle d'ambition. «Franchir trois ou quatre tours de coupe d'Europe contribue plus à votre notoriété que dix ans de championnat. J'ai marqué 110 buts dans ma carrière, les gens ont retenu uniquement celui réussi contre Milan en coupe UEFA. La dimension de l'événement recèle un piège, il ne faut pas jouer le match avant le coup d'envoi dans sa tête. Il faut jouer au bon moment.»

Ses joueurs connaissent l'horaire à respecter. Il les attend dès 20 h 30 ce soir.