ahaha mais abuser ces commentaires a la radio ahahah , " il fais le détour pour aller à la cathédrale ... passe par le parking blabla " ou "il met du temps a arriver le tel jusqu à malte " mais mort de rire quoi ... un vrai plaisir
Au niveau du match, bain c'est pas extraordinaire il me semble pas que Sion a eu beaucoup d'occasions. Attendons de voir les images et surtout le match retour !
Mystik a écrit :
Sinon, objectif désiré de Clausen rempli -> aucun ballon dans les fillets valaisans.
Je suis très satisfait du travail abattu par Clausen, ainsi que des résultats obtenus jusqu'à présent, mais sa politique "jouons les petits bras à l'extérieur" me laisse vraiment perplexe; d'autant plus que l'on connaît le potentiel énorme de notre équipe...
Contre Benfica, on subit le jeu jusqu'à ce que l'on opte pour un 4-4-2; le SLB si dominateur, semble soudainement très fébrile...
A GC, on a les moyens de l'emporter, mais on ne se donne pas les moyens de le faire; résultat: 0-0...
On peine face à la lanterne rouge en 4-5-1, mais on l'emporte néanmoins grâce au duo Rega-Kuljic...
On cartonne en 4-4-2 contre Saint-Gall, mais quelques jours plus tard, on ne trouve pas la moindre solution face à une équipe en perdition dans un championnat médiocre, avec notre système hyper défensif (4 défenseurs et 3 milieux défensifs)... 0-0, c'est bien. Mais les Autrichiens auront l'avantage du but compte double...
Bref, pourquoi se prive-t-on d'un système qui nous réussit à merveille? Je n'y vois qu'un avantage: berner le système de jeu adverse... Mais on perd énormément en stabilité, en routine et en assurance... Dur, dur pour un joueur de changer de rôle semaine, après semaine...
Ce n'est pas un coup de gueule, mais presque...
On continuera à cartonner en 4-4-2 et on peinera en 4-5-1 lorsque Clausen le décidera.... On tient les paris?
Modifié en dernier par supp_séd le 10.08.2006 21:56, modifié 2 fois.
supp_séd a écrit : Dur, dur pour un joueur de changer de rôle semaine après semaine...
Clausen a un effectif à disposition qui est assez grand. Il en profite donc pour faire tourner un peu les tactiques, les joueurs et ainsi, entretenir une concurrence parmis les joueurs.
Aucun joueur n'est vraiment sûr de jouer le prochain match. Et cela fait partie de la règle du jeu, une règle du jeu connue dès le départ. Ils savent que plus ils se donnent, plus les chances de jouer augumentent.
Et Clausen fait donc son équipe en fonction de ce qu'ont montré les joueurs...
Cette manière de faire est appréciée par les joueurs expérimentés
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
supp_séd a écrit : Dur, dur pour un joueur de changer de rôle semaine après semaine...
Clausen a un effectif à disposition qui est assez grand. Il en profite donc pour faire tourner un peu les tactiques, les joueurs et ainsi, entretenir une concurrence parmis les joueurs.
Aucun joueur n'est vraiment sûr de jouer le prochain match. Et cela fait partie de la règle du jeu, une règle du jeu connue dès le départ. Ils savent que plus ils se donnent, plus les chances de jouer augumentent.
Et Clausen fait donc son équipe en fonction de ce qu'ont montré les joueurs...
Cette manière de faire est appréciée par les joueurs expérimentés
Cette manière de faire est compatible à un système de jeu fixe...
Il a dit en début de championnat, je cite: "Nous jouerons en 4-4-2 à domicile et en 4-5-1 à l'extérieur", aucun rapport avec les performances des joueurs...
Il doit bien se rendre compte comme moi que le 1er système nous convient mieux que le second, non?
Mais bon, bref, je lui laisserai faire son travail comme il l'entend... Il est certainement plus au fait que moi des avantages de cette manière de faire...
Je ne suis pas un spécialiste, je me permets juste d'émettre une remarque, car je dois bien vous avouer que j'ai du mal à saisir l'intention qui se cache derrière...
Il dit vouloir gagner, mais joue avec 8 joueurs à vocation défensive (en comptant le gardien)...
Mystik a écrit :
Et Clausen fait donc son équipe en fonction de ce qu'ont montré les joueurs...
Cette manière de faire est appréciée par les joueurs expérimentés
n'empêche que même si un joueur expérimenté est désigné et aligné en attaque en 4-5-1 ... vu qu'il aura donc forcément prouvé à l'entraîneur qu'il mérite sa place ... je pense pas qu'il sera heureux d'avoir été le seul à l'avoir méritée du moment que le score n'évolue pas ...
- la meilleure défense c'est l'attaque
- la meilleure façon de ne pas regretter c'est ... d'oser
- pas de procès d'intentions à quiquonque ... juste l'impression d'avoir joué le contre et le coup de poker alors qu'on avait (comme le dit très bien supp ...) les moyens de porter le danger bien + haut
Dommage que Sion n'a pas marquer, ont serait beaucoup plus tranquille a l'heure qu'il est.
Je trouve que Sion a utiliser un système de jeu trop defensif. Avec un 2eme ataquant, je pense que on aurait pu faire la differance.
Bref j'espere que Sion sera un peut mieux a geneve, mais en 1er il y a YB a Berne.
COUPE DE L'UEFA Chahutés, les joueurs de Clausen ont souffert face à un adversaire plus fort que prévu. Ils s'en sortent bien
RIED (AUT) - NICOLAS JACQUIER
10 août 2006
A l'occasion de son retour sur la scène européenne, attendait-on trop du FC Sion? Découvrant les moyens de Ried, le club valaisan a dû se contenter d'un match nul plutôt flatteur pour lui qui, s'il n'hypothèque en rien son avenir UEFA, ne fait pas forcément ses affaires. A cet égard, face à d'autres «vert» que Saint-Gall, atomisé 4-0 quatre jours plus tôt à Tourbillon, le visiteur a pu mesurer à ses dépens la différence qu'il existe entre la Super League et l'Europe. En la circonstance, est-ce Ried qui s'est montré plus fort qu'annoncé? Ou Sion qui n'a pas justifié les hautes ambitions que lui prête son président? La réponse se situe sans doute à mi-chemin. Il n'empêche qu'à Genève, face à des Autrichiens qui ne seront peut-être pas toujours aussi maladroits dans le dernier geste, la gestion du match retour s'annonce délicate.
Ne laissant que le seul Kuljic, accueilli chez lui par son fan's club personnel, en pointe, Carlitos et Reset occupant les couloirs, sans doute le visiteur laissa-t-il passer sa chance dans le premier quart d'heure qu'il domina. Hélas, il n'exploita aucun des multiples services de Reset, dont les centres ne trouvèrent personne. En face, si Brunmayr s'essaya deux fois à la frappe croisée (une de chaque côté), Damjanovic, pourtant seul devant la cage vide, rata la plus belle occasion de la première période (30e). Dans la foulée, un coup-franc de Drechsel fit frissonner Vailati et les quelques 350 supporters valaisans ayant entrepris le déplacement. A la reprise, la volée de Seo ne trouvait que le petit filet. Peu après, seul un double sauvetage de Joao Pinto empêchait Ried de concrétiser son emprise sur le jeu. Entre-temps (53e), Kuljic s'était ménagé la première - et dernière - vraie chance valaisanne de la partie. La valse autrichienne reprenait ensuite de plus belle. Sous l'impulsion d'Obradovic, Sion allait toutefois esquisser quelques timides pas dans la direction de Berger.
0-0 des familles à l'arrivée, tout reste à faire pour un visiteur qui, en encaissant aucun but, n'a réussi que la moitié de son défi. A se demander si Clausen a choisi la bonne option en préférant assurer ses arrières. «On signait avant le coup d'envoi pour ce 0-0! En Coupe d'Europe, c'est toujours un bon résultat.» S'il évoquait un possible penalty oublié sur Obradovic (89e), Christian Constantin ne faisait pas la fine bouche: «On était plus à la recherche d'un match nul que d'une victoire. On a vu que Ried était solide. 0-0, il fallait le faire.» Sion l'a donc fait, regagnant ses pénates - l'équipe a atterri en fin de soirée à Genève - avec ce point qu'il était venu chercher. Mais l'on se réjouit de voir ce dont il est réellement capable. Quand il s'agira cette fois de l'emporter.
SV Ried - Sion 0-0
Fill-Metallbau Stadium, 3100 spectateurs. Arbitre: M. Zammit (Mal).
Ried: H.-P. Berger; Brenner, Glasner, C. Jank, M. Berger; Jung-Won, Seo, Martinez, Sulimani (85e Michalik), Drechsel, Brunmayr (72e Wolf); Damjanovic (70e Kastner). Entraîneur: Kraft.
Notes: Sion sans Chihab, Meoli (blessés), Saborio (en convalescence), Yahiaoui, Bühler (pas qualifiés), Thurre, Crettenand (avec la deuxième équipe). Temps frais. Un violent orage s'abat avant le coup d'envoi. Sortie de Carlitos sur blessure (39e).
Avertissements: Jank (43e, jeu dur), Gaspoz (49e, jeu dur), Sulimani (66e, jeu dur).
Coups de coin: 1-4 (1-3).
Coupe UEFA: Ried et Sion se sont séparés sur un nul 0-0
RIED - Le FC Sion a fait match nul 0-0 sur la pelouse du SV Ried, lors du 2e tour qualificatif de la Coupe de l'UEFA. Les Sédunois s'en sont plutôt bien sortis et seront plus que jamais en danger "à domicile" au Stade de Genève, pour le match retour.
Les 3100 spectateurs - dont plus de 300 Valaisans - du charmant Fill Metallbau Stadion n'ont pas véritablement eu de raisons de s'enflammer au cours de cette rencontre. Le prévisible duel tactique qui se profilait n'a pas manqué le rendez-vous en Autriche. L'absence de Tariq Chihab (blessé) s'est fait ressentir dans le rond central, surtout en phase de construction.
Les deux seules occasions de but en 1re mi-temps étaient autrichiennes, sur une tête non cadrée de Damjanovic seul au second poteau et un coup-franc de Drechsel de peu à côté.
En seconde période, Ried faisait largement la course en tête. Sion souffrait passablement, et ne se procurait sa première chance de but qu'à la 89e (!), sur une frappe d'Ahoueya détournée par Fernandes au-dessus des buts de Berger. De l'autre côté, Seo (52e) et Sulimani (63e) notamment alertaient Vailati mais manquaient de précision dans le dernier geste.
(ats / 10 août 2006 20:58)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
En revenant d'Autriche avec un 0-0, Sion garde ses chances de qualification, lors du 2e tour préliminaire de la Coupe UEFA. Ried a néanmoins été le plus dangereux.
Sion a fait match nul 0-0 sur la pelouse du SV Ried, lors du 2e tour qualificatif de la Coupe de l'UEFA. Les Sédunois s'en sont plutôt bien sortis et seront plus que jamais en danger «à domicile» au Stade de Genève, pour le match retour.
Les 3100 spectateurs, dont plus de 300 Valaisans, du charmant Fill Metallbau Stadion n'ont pas véritablement eu de raisons de s'enflammer au cours de cette rencontre. Le prévisible duel tactique qui se profilait n'a pas manqué le rendez-vous en Autriche. L'absence de Tariq Chihab, blessé le week-end dernier, s'est déjà fait ressentir dans le rond central, surtout en phase de construction.
Une première mi-temps équilibrée
Nestor Clausen prenait le pari d'un 4-3-3, avec les travailleurs Ahoueya, Fernandes et Di Zenzo dans l'entre-jeu et les fusées Reset et Carlitos pour encadrer Kuljic en pointe. Toutefois, malgré la vivacité du onze sédunois, le SV Ried demeurait toute la première mi-temps très compact. Le jeu collectif des Valaisans ne réussissait que quelques fois, et avec peine, à prendre à défaut le bloc de Helmut Kraft.
Sion pouvait néanmoins compter sur la bonne entente entre Ahoueya et Reset sur le flanc droit. Le latéral autrichien Markus Berger visiblement le maillon faible de la défense passait ainsi 45 minutes difficiles. Mais jamais les centres de Reset ne trouvaient preneur.
En revanche, le SV Ried était des plus réalistes, sans vraiment briller dans le jeu non plus. Ronald Brunmayr recevait régulièrement le cuir dans l'intervalle, entre Fernandes et la charnière centrale, déséquilibrant ainsi souvent l'arrière-garde sédunoise. D'ailleurs, les deux seules occasions de but en 1ère mi-temps étaient autrichiennes, sur une tête non cadrée de Damjanovic seul au second poteau et un coup-franc de Drechsel de peu à côté.
Entré à la 40e à la place de Carlitos, blessé, Obradovic n'était pas réellement en mesure de tirer sa formation vers le haut. Le Serbe, loin de sa forme optimale en raison d'une carence en fer, avait faim de ballons. Mais il se montrait tout de même moins percutant qu'à son habitude.
Défendre le match nul
En seconde période, Ried faisait largement la course en tête. Sion souffrait passablement, et ne se procurait sa première chance de but qu'à la 89e (!), sur une frappe d'Ahoueya détournée par Fernandes au-dessus des buts de Berger. De l'autre côté, Seo (52e) et Sulimani (63e) notamment alertaient Vailati, mais manquaient de précision dans le dernier geste.
D'une manière générale, les hommes de Clausen cherchaient à conserver ce score nul et vierge. Seules quelques timides poussées en fin de rencontre auraient pu permettre aux Valaisans d'empocher une victoire loin d'être méritée. Sion a défendu, parfois de façon remarquable, parfois avec réussite, mais n'a pas «joué pour gagner», comme le clamait son entraîneur la veille. Si le onze de Tourbillon semblait meilleur sur la plan individuel, il se cassait les dents sur le collectif précis et solide aligné par Kraft.
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein