en même temps silloner l'Europe ca n'a pas de prix
[Galatasaray-Sion] Avant match
c'est quoi finalement l'ATS ...ats a écrit :On le sait, Alberto Bigon n'occupe pas une position des plus confortables. Déjà que les techniciens ne font en règle générale pas de vieux os sur le banc sédunois, la spirale négative que connaît sa troupe fait de l'Italien un homme en danger. Et ce malgré l'étonnante patience affichée jusque-là par Christian Constantin, qui déclarait en conférence de presse: "Monsieur Bigon est notre entraîneur et le restera jusqu'à la fin de son contrat (ndlr: en juin 2010)." On en doute tout de même.
ils ont donc toute impunité et le droit de balancer des avis pareils sans que personne se retourne contre eux ...
si le Matin Orange avait osé balancer de tels propos insidieux et perfides --> vous jure que leur standard aurait été submergé de commentaires de noms d'oiseaux et d'accusations à la provocation !!! Merci de m'éclaire nufc au cas où ... car là je trouve que l'avis est trop tranché pour illustrer le vrai paysage médiatique suisse (ou alors suisse allemand ou encore je sais pas d'où mais en tout cas pas de personnes neutres, objectives ou encore bien informées !!!)
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nufc
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C'est l'Agence Télégraphique Suisse. C'est une agence de journalistes qui rapportent les dépéches au niveau suisse et internationale. Ca correspond à l'AFP pour la France.zorgg a écrit :c'est quoi finalement l'ATS ...
ils ont donc toute impunité et le droit de balancer des avis pareils sans que personne se retourne contre eux ...
si le Matin Orange avait osé balancer de tels propos insidieux et perfides --> vous jure que leur standard aurait été submergé de commentaires de noms d'oiseaux et d'accusations à la provocation !!! Merci de m'éclaire nufc au cas où ... car là je trouve que l'avis est trop tranché pour illustrer le vrai paysage médiatique suisse (ou alors suisse allemand ou encore je sais pas d'où mais en tout cas pas de personnes neutres, objectives ou encore bien informées !!!)
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www.ats.ch
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
nan mais merci quoinufc a écrit : C'est l'Agence Télégraphique Suisse. C'est une agence de journalistes qui rapportent les dépéches au niveau suisse et internationale. Ca correspond à l'AFP pour la France.
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c'était pas vraiment la vraie question ... la vraie question était : de quelle impunité jouissent-ils pour balancer leurs commentaires en toute assurance et sans aucune crainte de retour (du moment qu'on ne sait pas qui dit quoi mais qu'ils le disent quand même, quitte à choquer ou en interpeler + d'un ...) c'est la Pravda helvétique ou quoi ?
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MadMouche
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Faudra que l'on vise juste ...dunedain133 a écrit :l ambiance va etre de taille demain :)))) j espere un bon match en tout cas
sinon demain tes joueurs auront mal au crâââââne
Les hommes parlent de la victoire comme d'une chance. C'est le travail qui fait la victoire.
Caca de mouette, tempête ; caca de goéland, beau temps.
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Il suffit que le journaliste soit anti-sédunois et son texte peut prendre la tournure qu'il veut. C'est la subjectivité des médias.zorgg a écrit :nan mais merci quoi
c'était pas vraiment la vraie question ... la vraie question était : de quelle impunité jouissent-ils pour balancer leurs commentaires en toute assurance et sans aucune crainte de retour (du moment qu'on ne sait pas qui dit quoi mais qu'ils le disent quand même, quitte à choquer ou en interpeler + d'un ...) c'est la Pravda helvétique ou quoi ?
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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varella2121
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Raphaël Wicky: «Jouer l'un pour l'autre»
L'international s'apprête à replonger dans une ambiance qu'il connaît bien. Le 16 novembre 2005, il avait vécu le match du scandale. Ce soir, il espère écrire une nouvelle page d'histoire contre Galatasaray
«Si l'on commence à avoir peur, on est foutus!» Ce credo, Raphaël Wicky le répétera ce soir à tous ses camarades en pénétrant sur la pelouse du stade Ali Sami Yen, un chaudron chauffé par 25 800 supporters de Galatasaray privés de foot et de jeu depuis le début de la saison. Suite aux débordements de son turbulent public, le club avait été condamné à disputer ses cinq premiers matches à huis clos. C'est dire si Sion arrive au plus mauvais moment. «Ça va être chaud, mais concentrons-nous sur ce qui va se passer sur le terrain, et non dans les tribunes.»
Presque deux ans après le match du scandale, Wicky retrouve une ville, un pays, une ambiance qu'il n'a pas oubliés depuis le 16 novembre 2005 et les débordements qui avaient suivi la qualification de la Suisse pour la Coupe du monde. Ce jour-là, grâce à leur défaite «historique» contre les Turcs (4-2), les joueurs de Kuhn avaient écrit une page d'histoire. Wicky espère en commencer une nouvelle. «On sait ce qui peut nous arriver. A l'époque, hormis ce qui s'était passé dans le tunnel de la honte, je n'avais jamais eu peur.» L'international rêve d'un nouvel exploit. Avec Sion cette fois-ci. Comme contre Marseille en 1994 (2-0 à Sion, 3-1 au Vélodrome). «On travaille pour jouer de tels matches. Pouvoir vivre ça, c'est beau.» Peut-être, mais comment s'y prendre pour créer les conditions de l'exploit? «Jouer en équipe, l'un pour l'autre, l'un avec l'autre. Il faut additionner les forces, pas les diviser. L'équipe a déjà montré qu'elle possédait les qualités pour bousculer Galatasaray. D'autant que derrière, ils ne sont pas terribles.» S'il regrette l'épisode Chedli - «En dix ans passés à l'étranger, je n'ai jamais rien vu de comparable» -, le capitaine sait que le salut du FC Sion passera par... l'offensive. «On ne peut pas se contenter de défendre. C'est trop risqué. Ce serait le meilleur moyen de tout perdre. Dans la tête, on doit se dire qu'il faudra marquer au moins un but.»
Hier, les Valaisans ont été reçus comme des chefs. Avec des sourires, des bravos et le tapis rouge. Ils se seraient crus au paradis. L'enfer, c'est peut-être pour ce soir.
Le boss en vedette
Très attendu par les médias turcs, Christian Constantin , suivi en permanence par un gorille de la sécurité, a tenu hier soir la vedette sur le podium de la bonne humeur, dans les entrailles d'Ali Sami Yen, alors que son équipe y prenait ses marques. A propos des fameux détecteurs de gaz (Lire «Le Matin» du 29 septembre), il s'est défendu d'avoir voulu faire de l'intox. «Je fais ce que j'ai toujours fait. A Marseille comme à Moscou. Je veux savoir quel air l'on respire et si l'on nous écoute dans les vestiaires.» Bonne nouvelle: «Je peux déjà vous dire que la hauteur des buts est en ordre! (Rires.)»
Pourrait-ce être le dernier match de Bigon sur le banc en cas de (gros) couac? CC: «Alberto est notre entraîneur et le restera jusqu'à la fin de son contrat.» Ce matin, le président parlera à ses joueurs, restant conscient de la difficulté de la mission. «Je ne peux pas leur demander de sauter une barre à 2,78 m s'ils sont capables de passer 1,40 m!» Dernier tuyau: Sion a déjà désigné ses cinq tireurs de penalties.
Le Matin
L'international s'apprête à replonger dans une ambiance qu'il connaît bien. Le 16 novembre 2005, il avait vécu le match du scandale. Ce soir, il espère écrire une nouvelle page d'histoire contre Galatasaray
«Si l'on commence à avoir peur, on est foutus!» Ce credo, Raphaël Wicky le répétera ce soir à tous ses camarades en pénétrant sur la pelouse du stade Ali Sami Yen, un chaudron chauffé par 25 800 supporters de Galatasaray privés de foot et de jeu depuis le début de la saison. Suite aux débordements de son turbulent public, le club avait été condamné à disputer ses cinq premiers matches à huis clos. C'est dire si Sion arrive au plus mauvais moment. «Ça va être chaud, mais concentrons-nous sur ce qui va se passer sur le terrain, et non dans les tribunes.»
Presque deux ans après le match du scandale, Wicky retrouve une ville, un pays, une ambiance qu'il n'a pas oubliés depuis le 16 novembre 2005 et les débordements qui avaient suivi la qualification de la Suisse pour la Coupe du monde. Ce jour-là, grâce à leur défaite «historique» contre les Turcs (4-2), les joueurs de Kuhn avaient écrit une page d'histoire. Wicky espère en commencer une nouvelle. «On sait ce qui peut nous arriver. A l'époque, hormis ce qui s'était passé dans le tunnel de la honte, je n'avais jamais eu peur.» L'international rêve d'un nouvel exploit. Avec Sion cette fois-ci. Comme contre Marseille en 1994 (2-0 à Sion, 3-1 au Vélodrome). «On travaille pour jouer de tels matches. Pouvoir vivre ça, c'est beau.» Peut-être, mais comment s'y prendre pour créer les conditions de l'exploit? «Jouer en équipe, l'un pour l'autre, l'un avec l'autre. Il faut additionner les forces, pas les diviser. L'équipe a déjà montré qu'elle possédait les qualités pour bousculer Galatasaray. D'autant que derrière, ils ne sont pas terribles.» S'il regrette l'épisode Chedli - «En dix ans passés à l'étranger, je n'ai jamais rien vu de comparable» -, le capitaine sait que le salut du FC Sion passera par... l'offensive. «On ne peut pas se contenter de défendre. C'est trop risqué. Ce serait le meilleur moyen de tout perdre. Dans la tête, on doit se dire qu'il faudra marquer au moins un but.»
Hier, les Valaisans ont été reçus comme des chefs. Avec des sourires, des bravos et le tapis rouge. Ils se seraient crus au paradis. L'enfer, c'est peut-être pour ce soir.
Le boss en vedette
Très attendu par les médias turcs, Christian Constantin , suivi en permanence par un gorille de la sécurité, a tenu hier soir la vedette sur le podium de la bonne humeur, dans les entrailles d'Ali Sami Yen, alors que son équipe y prenait ses marques. A propos des fameux détecteurs de gaz (Lire «Le Matin» du 29 septembre), il s'est défendu d'avoir voulu faire de l'intox. «Je fais ce que j'ai toujours fait. A Marseille comme à Moscou. Je veux savoir quel air l'on respire et si l'on nous écoute dans les vestiaires.» Bonne nouvelle: «Je peux déjà vous dire que la hauteur des buts est en ordre! (Rires.)»
Pourrait-ce être le dernier match de Bigon sur le banc en cas de (gros) couac? CC: «Alberto est notre entraîneur et le restera jusqu'à la fin de son contrat.» Ce matin, le président parlera à ses joueurs, restant conscient de la difficulté de la mission. «Je ne peux pas leur demander de sauter une barre à 2,78 m s'ils sont capables de passer 1,40 m!» Dernier tuyau: Sion a déjà désigné ses cinq tireurs de penalties.
Le Matin
Les avis c'est comme les trous de balle, tout le monde en a un.
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dunedain133
c'est un sérieux indice !!!inter a écrit :Vous avez remarqué?depuis que bühler ne joue plus on gagne plus...
pour jutti ...
Modifié en dernier par zorgg le 04.10.2007 13:17, modifié 1 fois.
L'erreur vient du site www.football.ch j'ai fait un simple copier-coller !!silicone a écrit :Il n'a mis que 10 joueurs c'est ça??zorgg a écrit :c'est un sérieux indice !!!inter a écrit :Vous avez remarqué?depuis que bühler ne joue plus on gagne plus...
pour jutti ...
http://www.football.ch/fr/start.aspx?vNews=1&newsID=8
On boira du lait quand les vaches mangeront du raisin...
Santé Fc Sion!!
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Zotte3
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Ce soir tout se jouera dans la tête et dans les jambes, au risque aussi d'en payer le prix physiquement dimanche contre GC. Mais si Sion devait se qualifier à ce prix, le mental dimanche compenserait certainement la fatigue.
Certaines personnes portent un bonnet Guy Roux, Guy Roux portait un bonnet Zotte3.
L'éphémère est beaucoup plus fugitif que l'effet belle-mère
L'éphémère est beaucoup plus fugitif que l'effet belle-mère