Champion's 1/8 ème de final
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Champion's 1/8 ème de final
22/02/2005
Real Madrid - Juventus
Liverpool - Leverkusen
PSV - Monaco
Bayern - Arsenal
23/02/2005
Porto - Internazionale
Barcelona - Chelsea
Man. United - Milan
Bremen - Lyon
De sacrées belles affiches en perspective Jean-Michel.
Tout à fait Thierry!
Lâchez ici vos comm'. Qui voyez-vous en finale?
Real Madrid - Juventus
Liverpool - Leverkusen
PSV - Monaco
Bayern - Arsenal
23/02/2005
Porto - Internazionale
Barcelona - Chelsea
Man. United - Milan
Bremen - Lyon
De sacrées belles affiches en perspective Jean-Michel.
Tout à fait Thierry!
Lâchez ici vos comm'. Qui voyez-vous en finale?
désolé mon pote je sais que tu es accro à la juve, perso j'aimerai bien qu'un équipe anglaise gagne... hummm Arsenal serait vraiment bien, je pense qu'ils mériteraient !
sinon pour les 1/8 voici mes favoris :
Real Madrid - Juventus
Liverpool - Leverkusen
PSV - Monaco
Bayern - Arsenal
Porto - Internazionale
Barcelona - Chelsea
Man. United - Milan
Bremen - Lyon
sinon pour les 1/8 voici mes favoris :
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Bayern - Arsenal
Porto - Internazionale
Barcelona - Chelsea
Man. United - Milan
Bremen - Lyon
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Re: Champion's 1/8 ème de final
Real Madrid - Juventus
Liverpool - Leverkusen
PSV - Monaco
Bayern - Arsenal
Porto - Internazionale
Barcelona - Chelsea
Man. United - Milan
Bremen - Lyon
Etant en Allemagne, je vais soutenir les équipes allemandes. Je vois bien Leverkusen en finale...
Liverpool - Leverkusen
PSV - Monaco
Bayern - Arsenal
Porto - Internazionale
Barcelona - Chelsea
Man. United - Milan
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Etant en Allemagne, je vais soutenir les équipes allemandes. Je vois bien Leverkusen en finale...
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y a pas de mal! Sinon Arsenal t'es sûr que c'est anglais??bouryves a écrit :désolé mon pote je sais que tu es accro à la juve, perso j'aimerai bien qu'un équipe anglaise gagne..hummm Arsenal serait vraiment bien
Real Madrid - Juventus
Liverpool - Leverkusen
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Bayern - Arsenal
Porto - Internazionale
Barcelona- Chelsea
Man. United - Milan
Bremen - Lyon
Real Madrid - Juventus
Liverpool - Leverkusen
PSV - Monaco
Bayern - Arsenal
Porto - Inter
Barcelone- Chelsea (mais ce sera serré)
Man. United - Milan
Bremen - Lyon
Je vois bien Milan en finale. Et pourquoi pas contre Barcelone?
Liverpool - Leverkusen
PSV - Monaco
Bayern - Arsenal
Porto - Inter
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Man. United - Milan
Bremen - Lyon
Je vois bien Milan en finale. Et pourquoi pas contre Barcelone?
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
Real Madrid - Juventus (pour Pavel Nedved ...)
Liverpool - Leverkusen (pour Milan Baros ...)
PSV - Monaco (pour Johann ...)
Bayern - Arsenal (pour Thierry Henry ...)
Porto - Inter (pour Christiano Zanetti ...)
Barcelone - Chelsea (pour Damien Duff ...)
Man. United - Milan (pour Ryan Giggs ...)
Bremen - Lyon ( pour Ludo :---) ...)
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Ronaldinho, de l'art de s'amuser
Le footballeur brésilien, dribbleur fou et créateur de génie imprégné d'une gaieté incurable, a refait du FC Barcelone le grand club qu'il était. Ce soir, il sera l'attraction d'un duel de prestige avec Chelsea (2-1 au match aller), en huitième de finale de la Ligue des champions
Première surprise: la dentition. Une petite avance sur le gâteau. L'expression affirmée d'une espièglerie désuète, une sorte de gaieté incurable que son détenteur trimbale sans vergogne. Deuxième surprise: le jeu. Bien plus que du football. Le dribble est irrévérencieux, la foulée allègre, le geste d'une pureté subliminale. Tout dans cette sarabande transpire les joies de l'existence.
Ronaldo de Assis Moreira, nom de scène Ronaldinho, gamin de Porto Alegre, a passé les vingt-quatre premières années de sa vie à jouer. Plus prosaïquement, il est l'épicurien le mieux payé du monde. Il avoue des inclinations irrépressibles pour la plage, les boîtes de nuit, la gaudriole et la balle. Un ou deux soirs par semaine, il fait commerce de sa dextérité devant les 90 000 socios du Camp Nou, le visage fendu d'un sourire fripon. Il est tout. Artiste aux aspirations frivoles. Grand instigateur du renouveau barcelonais. Fiancé de toute une ville qui, peu à peu, adopte son salut distinctif, «le signe du surfeur», pouce et auriculaire pointés vers le ciel. «Il est le dernier footballeur romantique», assène Romario, glorieux ancêtre brésilien.
Dans le jeu effronté de Barcelone, sa liberté de mouvement est totale, affranchie de toute pingrerie tactique. «La seule consigne que je lui donne est: fais ce dont tu as envie», reconnaît sans peine Frank Rijkaard, l'entraîneur des «Blaugrana». Ronaldinho, joueur-né, appartient à une espèce rare. Il incarne le talent sous ses formes les plus désinhibées et singulières, la perfection dans toute sa prodigieuse évidence. «Il est impressionnant», a proclamé Pelé, comme pour l'adouber.
Ronaldinho, parfois, traîne les pieds. Certes. Pour la partie individuelle de son entraînement, l'hédoniste avait choisi d'exercer sa virtuosité sur les plages de Barcelone, lesquelles, malgré un lointain cousinage avec les sables de Copacabana, réveillent en lui les effluves de son enfance buissonnière. Pas de chance: le Brésilien en est sorti amoindri, presque inopérant, et il a écopé d'une peine de gazon ferme – le pire châtiment qu'un pragmatique puisse infliger à un disciple du jeu.
En gage de sa personnalité empirique, Ronaldinho s'était signalé à l'attention planétaire d'un but surréaliste – lob, aile de pigeon, frappe croisée – contre le Venezuela, en 1999. La seule autorité dont il se réclame est sa famille. Son père s'est noyé dans une piscine quand il avait 8 ans, probablement à la suite d'une crise cardiaque. Depuis, Ronaldinho emporte toujours avec lui une cassette vidéo de leur bref passé en commun, et la visionne à chaque fois qu'il revêt le maillot de la «Seleçao».
Joao Assis de Moreira, soudeur sur des chantiers navals, n'a pas vécu assez longtemps pour voir son rêve s'accomplir. Il n'était pas fou. Il savait que sous des bouclettes folâtres et des dehors insouciants, son petit dernier deviendrait un grand; peut-être même le meilleur d'entre tous. Le môme était encore plus doué que son frère aîné, Roberto, maître à jouer du FC Sion sous l'ère Constantin première du nom. A la mort de leur père, ledit Roberto Assis est devenu le tuteur, le paradigme, puis l'agent du prodige. «Il était mon soleil, mon idole. Je voulais devenir aussi fort que lui», répète sans cesse Ronaldinho.
Un jour, un reporter suggéra que son père fut gardien de but, ce dont «Ronnie» se sentit profondément offensé. «Impossible, s'est-il rembruni. Dans la famille, il n'y a jamais eu de gardien. Si l'un de nous avait voulu le devenir, nos parents lui auraient dit: «Il vaut mieux que tu ailles à l'école.» Loin de se résigner à cette sotte idée, Dona Miguelinha, mère bienveillante, a laissé libre cours à la relation étroite, charnelle, que son cadet entretenait avec le football: «Le ballon ne le quittait jamais. Au petit déjeuner, il le tenait entre les jambes. Sur le chemin de l'école, il le calait sous le bras. Au lit, il l'appuyait contre sa tête.»
Le temps d'un hiver à Sion, le surdoué, à défaut de céder aux ardentes convoitises de Constantin, a distrait le landernau, notamment l'entraîneur des juniors C, Didier Papilloud, cité par L'illustré: «Avant l'entraînement, Ronaldinho jonglait tout au long des 400 mètres qui séparaient le garage du terrain. Et toujours avec le sourire, comme aujourd'hui.» D'autres témoignages racontent son aisance technique désespérante, étalée avec beaucoup d'esbroufe, sans effort. Les plus agacés prédirent au virtuose une carrière de phénomène de foire.
Plutôt que s'engager dans un cirque, Ronaldinho a signé au FC Barcelone pour 27 millions d'euros. Le Real Madrid y a renoncé après qu'un membre de son service marketing, évoquant une «rustrerie» notoire, eut jugé le personnage inadéquat. L'autre acquéreur déclaré, Manchester United, a trop marchandé. Barcelone lui-même voulait David Beckham, mais il ne l'a pas eu. Tous avaient eu vent des fredaines parisiennes de Ronaldinho, coureur de jupons aux «Bains-douches» bien avant de se soustraire au marquage à la culotte de ses adversaires au Parc des Princes, pour la plus grande rage de son entraîneur au PSG, le bouillonnant Luis Fernandez.
La Catalogne s'est éprise de ce mutin rieur qui chante, jongle et badine en toutes circonstances, un enfant de la balle promis à la gaieté éternelle, «jamais nerveux», dit-il, aussi émancipé en Ligue des champions qu'à la plage. L'hommage le plus touchant est celui de Carles Puyol, capitaine emblématique de Barcelone: «Ronaldinho ne nous permet pas seulement de gagner des matches, mais de nous élever spirituellement. Jamais je n'avais rencontré un personnage comme lui. Il est toujours de bonne humeur.»
Christian Despont
Mardi 8 mars 2005
[Source Le Temps]
Le footballeur brésilien, dribbleur fou et créateur de génie imprégné d'une gaieté incurable, a refait du FC Barcelone le grand club qu'il était. Ce soir, il sera l'attraction d'un duel de prestige avec Chelsea (2-1 au match aller), en huitième de finale de la Ligue des champions
Première surprise: la dentition. Une petite avance sur le gâteau. L'expression affirmée d'une espièglerie désuète, une sorte de gaieté incurable que son détenteur trimbale sans vergogne. Deuxième surprise: le jeu. Bien plus que du football. Le dribble est irrévérencieux, la foulée allègre, le geste d'une pureté subliminale. Tout dans cette sarabande transpire les joies de l'existence.
Ronaldo de Assis Moreira, nom de scène Ronaldinho, gamin de Porto Alegre, a passé les vingt-quatre premières années de sa vie à jouer. Plus prosaïquement, il est l'épicurien le mieux payé du monde. Il avoue des inclinations irrépressibles pour la plage, les boîtes de nuit, la gaudriole et la balle. Un ou deux soirs par semaine, il fait commerce de sa dextérité devant les 90 000 socios du Camp Nou, le visage fendu d'un sourire fripon. Il est tout. Artiste aux aspirations frivoles. Grand instigateur du renouveau barcelonais. Fiancé de toute une ville qui, peu à peu, adopte son salut distinctif, «le signe du surfeur», pouce et auriculaire pointés vers le ciel. «Il est le dernier footballeur romantique», assène Romario, glorieux ancêtre brésilien.
Dans le jeu effronté de Barcelone, sa liberté de mouvement est totale, affranchie de toute pingrerie tactique. «La seule consigne que je lui donne est: fais ce dont tu as envie», reconnaît sans peine Frank Rijkaard, l'entraîneur des «Blaugrana». Ronaldinho, joueur-né, appartient à une espèce rare. Il incarne le talent sous ses formes les plus désinhibées et singulières, la perfection dans toute sa prodigieuse évidence. «Il est impressionnant», a proclamé Pelé, comme pour l'adouber.
Ronaldinho, parfois, traîne les pieds. Certes. Pour la partie individuelle de son entraînement, l'hédoniste avait choisi d'exercer sa virtuosité sur les plages de Barcelone, lesquelles, malgré un lointain cousinage avec les sables de Copacabana, réveillent en lui les effluves de son enfance buissonnière. Pas de chance: le Brésilien en est sorti amoindri, presque inopérant, et il a écopé d'une peine de gazon ferme – le pire châtiment qu'un pragmatique puisse infliger à un disciple du jeu.
En gage de sa personnalité empirique, Ronaldinho s'était signalé à l'attention planétaire d'un but surréaliste – lob, aile de pigeon, frappe croisée – contre le Venezuela, en 1999. La seule autorité dont il se réclame est sa famille. Son père s'est noyé dans une piscine quand il avait 8 ans, probablement à la suite d'une crise cardiaque. Depuis, Ronaldinho emporte toujours avec lui une cassette vidéo de leur bref passé en commun, et la visionne à chaque fois qu'il revêt le maillot de la «Seleçao».
Joao Assis de Moreira, soudeur sur des chantiers navals, n'a pas vécu assez longtemps pour voir son rêve s'accomplir. Il n'était pas fou. Il savait que sous des bouclettes folâtres et des dehors insouciants, son petit dernier deviendrait un grand; peut-être même le meilleur d'entre tous. Le môme était encore plus doué que son frère aîné, Roberto, maître à jouer du FC Sion sous l'ère Constantin première du nom. A la mort de leur père, ledit Roberto Assis est devenu le tuteur, le paradigme, puis l'agent du prodige. «Il était mon soleil, mon idole. Je voulais devenir aussi fort que lui», répète sans cesse Ronaldinho.
Un jour, un reporter suggéra que son père fut gardien de but, ce dont «Ronnie» se sentit profondément offensé. «Impossible, s'est-il rembruni. Dans la famille, il n'y a jamais eu de gardien. Si l'un de nous avait voulu le devenir, nos parents lui auraient dit: «Il vaut mieux que tu ailles à l'école.» Loin de se résigner à cette sotte idée, Dona Miguelinha, mère bienveillante, a laissé libre cours à la relation étroite, charnelle, que son cadet entretenait avec le football: «Le ballon ne le quittait jamais. Au petit déjeuner, il le tenait entre les jambes. Sur le chemin de l'école, il le calait sous le bras. Au lit, il l'appuyait contre sa tête.»
Le temps d'un hiver à Sion, le surdoué, à défaut de céder aux ardentes convoitises de Constantin, a distrait le landernau, notamment l'entraîneur des juniors C, Didier Papilloud, cité par L'illustré: «Avant l'entraînement, Ronaldinho jonglait tout au long des 400 mètres qui séparaient le garage du terrain. Et toujours avec le sourire, comme aujourd'hui.» D'autres témoignages racontent son aisance technique désespérante, étalée avec beaucoup d'esbroufe, sans effort. Les plus agacés prédirent au virtuose une carrière de phénomène de foire.
Plutôt que s'engager dans un cirque, Ronaldinho a signé au FC Barcelone pour 27 millions d'euros. Le Real Madrid y a renoncé après qu'un membre de son service marketing, évoquant une «rustrerie» notoire, eut jugé le personnage inadéquat. L'autre acquéreur déclaré, Manchester United, a trop marchandé. Barcelone lui-même voulait David Beckham, mais il ne l'a pas eu. Tous avaient eu vent des fredaines parisiennes de Ronaldinho, coureur de jupons aux «Bains-douches» bien avant de se soustraire au marquage à la culotte de ses adversaires au Parc des Princes, pour la plus grande rage de son entraîneur au PSG, le bouillonnant Luis Fernandez.
La Catalogne s'est éprise de ce mutin rieur qui chante, jongle et badine en toutes circonstances, un enfant de la balle promis à la gaieté éternelle, «jamais nerveux», dit-il, aussi émancipé en Ligue des champions qu'à la plage. L'hommage le plus touchant est celui de Carles Puyol, capitaine emblématique de Barcelone: «Ronaldinho ne nous permet pas seulement de gagner des matches, mais de nous élever spirituellement. Jamais je n'avais rencontré un personnage comme lui. Il est toujours de bonne humeur.»
Christian Despont
Mardi 8 mars 2005
[Source Le Temps]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Chelsea-Barça.... QUEL MATCH
magnifique, j'ai vraiment kiffé en ragardant ce match...pas une minute de répit, rien que de l'attaque.
Dommage que Chelsea gagne sur une "tricherie"
J'sais pas vous mais moi perso j aurai préféré que le Barça passe, au vu de la qualité de foot qu'ils ont montré ces deux matchs!!!
magnifique, j'ai vraiment kiffé en ragardant ce match...pas une minute de répit, rien que de l'attaque.
Dommage que Chelsea gagne sur une "tricherie"
J'sais pas vous mais moi perso j aurai préféré que le Barça passe, au vu de la qualité de foot qu'ils ont montré ces deux matchs!!!
tricherie est un peu fort comme mot !cimbombom a écrit :Chelsea-Barça.... QUEL MATCH
magnifique, j'ai vraiment kiffé en ragardant ce match...pas une minute de répit, rien que de l'attaque.
Dommage que Chelsea gagne sur une "tricherie"
J'sais pas vous mais moi perso j aurai préféré que le Barça passe, au vu de la qualité de foot qu'ils ont montré ces deux matchs!!!
d'où les guillemets !!bouryves a écrit :tricherie est un peu fort comme mot !cimbombom a écrit :Chelsea-Barça.... QUEL MATCH
magnifique, j'ai vraiment kiffé en ragardant ce match...pas une minute de répit, rien que de l'attaque.
Dommage que Chelsea gagne sur une "tricherie"
J'sais pas vous mais moi perso j aurai préféré que le Barça passe, au vu de la qualité de foot qu'ils ont montré ces deux matchs!!!
c'est ptetre pas une tricherie au sens propre du terme, mais il retient le gardien des deux mains et ca c'est bien la première fois que j vois ca. c'est de l'antijeu abusif!!! un coup d epaule, une poussette, j veux bien qu ce soit pas volontaire, mais de là à le retenir des deux mains, y a un pas. donc pour moi ouai c est un vol
mon cher bouryves, on est pas d accord sur ce match. [-Xbouryves a écrit :et vous pensez quoi du pénatly pour le Barca, je trouve sévère, la faute est involontaire ! non ?
La main est plus haute que les deux tetes, et la deviation de la main empeche l attaquand de la dévier de la tête, donc c est pénalty
sans rancune [-(
Pénalty tout à fait correct. La main est très loin du corps et plus haute que la tête de l'attaquant espagnol. La décision de Collina est justifiée (tant le pénalty que le carton)bouryves a écrit :et vous pensez quoi du pénatly pour le Barca, je trouve sévère, la faute est involontaire ! non ?
Sinon, j'aurai préféré que le Barça passe. Ils présentaient un football plus interessant, faisaient tourner le ballon. Dommage que tant de fautes défensives ont été faites dans les 20 premières minutes.
Et enfin, Carvalho, je ne l'aimais déjà pas avant, mais là, ca a accentué mon sentiment. Barcelone méritait nettement plus de passer, au vu des matchs aller et retour.
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- supp_séd
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Je trouve ca fort prétentieux que de porter un jugement sur une action litigieuse, dont les différents angles pris par les caméras ne montrent rien... La tête de Terry vient de loin et n'est pas extrêmement puissante, il semblerait peu probable que Valdes ait fait un tel plongeon en temps normal, c'est vrai, mais rien ne nous dit que Carvalho lui a arraché le maillot!
Défensivement, le Barca, c'est vraiment faible. Pratiquement toutes les contres attaques anglaises étaient dangereuses! Le Barca fait mieux circuler le ballon mais est beaucoup moins réaliste, ok, ils n'ont pas eu de chance hier, mais Chelsea aussi, aurait pu faire la différence à maintes reprises!
Quant au penalty, il est indiscutable, c'est clair! Ce qui m'énerve par dessus tout, c'est que l'expulsion totalement imméritée de Drogba au match aller était passé inapercu auprès de tous (que ce soit sur le forum ou en dehors), cette fois, le Barca est "désavantagé" et tout le monde crie au scandale. Difficile de qualifier une équipe d'exceptionnelle lorsqu'elle encaisse 5 buts en 2 matchs...
Défensivement, le Barca, c'est vraiment faible. Pratiquement toutes les contres attaques anglaises étaient dangereuses! Le Barca fait mieux circuler le ballon mais est beaucoup moins réaliste, ok, ils n'ont pas eu de chance hier, mais Chelsea aussi, aurait pu faire la différence à maintes reprises!
Quant au penalty, il est indiscutable, c'est clair! Ce qui m'énerve par dessus tout, c'est que l'expulsion totalement imméritée de Drogba au match aller était passé inapercu auprès de tous (que ce soit sur le forum ou en dehors), cette fois, le Barca est "désavantagé" et tout le monde crie au scandale. Difficile de qualifier une équipe d'exceptionnelle lorsqu'elle encaisse 5 buts en 2 matchs...
Sur l'action en elle-même, c'était sévère. Mais l'accumulation de fautes commises par Drogba a bel et bien mérité un deuxième carton.supporter_sédunois a écrit :Ce qui m'énerve par dessus tout, c'est que l'expulsion totalement imméritée de Drogba au match aller était passé inapercu auprès de tous (que ce soit sur le forum ou en dehors), cette fois, le Barca est "désavantagé" et tout le monde crie au scandale.
D'ailleurs, qques instants avant qu'il reçoive le 2ème jaune, il avait commis une irrégularité pouvant lui valoir de rentrer aux vestiaires plus tôt. Il a eu un sursis qu'il na su guère profiter
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
c est quand meme terrible...je relisais les pronostics...personne n a donné une combinaison exacte...
la grosse surprise semble etre manchester milan...
la grosse surprise semble etre manchester milan...
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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Le tirage au sort des quarts et des demi-finales de l'UEFA Champions League de cette année se déroulera le vendredi 18 mars à Nyon.Evets a écrit :Les 1/4 de finale sont-ils tirés au sort ou est-ce un système de tableau?
Donc si jai bien compris:
quarts --> tirage
Demis --> tableau
Comme il s'agit d'un tirage au sort ouvert, les clubs d'un même pays peuvent se rencontrer à partir de maintenant, ce qui ouvre la possibilité de derbies passionnants.
Les quarts de finale aller se disputeront les 5 et 6 avril, et le retour la semaine suivante.
Les demi-finales auront lieu les 26 et 27 avril prochains, puis les 3 et 4 mai.
La finale, qui se disputera au stade olympique d'Atatürk à Istanbul, en Turquie, se tiendra le mercredi 5 mai.
Prenez notes dans vos agendas, c'est une bonne excuse pour annuler un souper chez votre belle-mère...
Moi qui aurait bien voulu aller voir la finale, vu que j'aurais eu le temps.. mais c'est trop loinbiancorosso a écrit :La finale, qui se disputera au stade olympique d'Atatürk à Istanbul, en Turquie, se tiendra le mercredi 5 mai.
Tu ne saurais pas ou est la finale de la coupe UEFA?
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L’arbitre international suédois Anders Frisk a raccroché son sifflet et ses crampons. Il dit se sentir menacé et a préféré mettre un terme à sa carrière.
Dans une interview accordée au supplément sport du journal suédois « Aftonbladet », l’arbitre international Anders Frisk annonce qu’il a décidé de mettre un terme immédiat à sa carrière en raison de menaces contre lui et sa famille. La goutte d'eau fut une menace de mort contre sa famille reçue hier : « J'ai subi des choses que je ne pouvais même pas imaginer. Je n'irai plus jamais sur un terrain de football. J'espère maintenant que ça va se calmer, maintenant qu'ils savent que j'arrête d'arbitrer. Tous les jours il y a eu une escalade et c'est devenu de pire en pire. Il y a eu des menaces par téléphone, par email et courrier, et ça a aussi touché ma famille. »
L’arbitre suédois avait arbitré le match aller des 8emes de finale de la Ligue des champions perdu par Chelsea sur la pelouse du FC Barcelone (2-1) le 23 février dernier. Anders Frisk avait été alors vivement pris à partie par l'entraîneur portugais du club anglais Jose Mourinho. Mourinho qui d’ailleurs avait provoqué une polémique après cette rencontre accusant au passage l’entraîneur du Barça, Frank Rijkaard, d'être venu parler à Anders Frisk dans le vestiaire des arbitres à la mi-temps. Mourinho qui s’était également plaint de l'expulsion de Didier Drogba en deuxième mi-temps.
Anders Frisk devait arbitrer le match de qualification pour la prochaine Coupe du monde entre l'Estonie et la Slovaquie à Tallin le 26 mars.
Dans une interview accordée au supplément sport du journal suédois « Aftonbladet », l’arbitre international Anders Frisk annonce qu’il a décidé de mettre un terme immédiat à sa carrière en raison de menaces contre lui et sa famille. La goutte d'eau fut une menace de mort contre sa famille reçue hier : « J'ai subi des choses que je ne pouvais même pas imaginer. Je n'irai plus jamais sur un terrain de football. J'espère maintenant que ça va se calmer, maintenant qu'ils savent que j'arrête d'arbitrer. Tous les jours il y a eu une escalade et c'est devenu de pire en pire. Il y a eu des menaces par téléphone, par email et courrier, et ça a aussi touché ma famille. »
L’arbitre suédois avait arbitré le match aller des 8emes de finale de la Ligue des champions perdu par Chelsea sur la pelouse du FC Barcelone (2-1) le 23 février dernier. Anders Frisk avait été alors vivement pris à partie par l'entraîneur portugais du club anglais Jose Mourinho. Mourinho qui d’ailleurs avait provoqué une polémique après cette rencontre accusant au passage l’entraîneur du Barça, Frank Rijkaard, d'être venu parler à Anders Frisk dans le vestiaire des arbitres à la mi-temps. Mourinho qui s’était également plaint de l'expulsion de Didier Drogba en deuxième mi-temps.
Anders Frisk devait arbitrer le match de qualification pour la prochaine Coupe du monde entre l'Estonie et la Slovaquie à Tallin le 26 mars.