gex750 a écrit :Sinon il serai intéressant de savoir si ces ami de longue date, copropriétaires de l'écurie et aussi actif dans la vigne et le vin seraient mêler aux autres histoires (de genre fausse facturation, livraison hors cota, etc...)
La présomption d'innocence est de mise pour l'instant.
Par contre dans l'article on parle d'une copropriété de Gentiane avec Olivier Flaction, alors qu'avant "l'affaire Giroud (volet viticulture/oenologie)" c'était Cédric Flaction (le fils d'Olivier) qui était semble-t-il copropriétaire. Du reste c'est lui qui posait avec Dominique et David Luyet dans la presse autour de la vache.
Cédric Flaction possède lui aussi une cave alors aurait-il pris ses distances suite aux éclaboussures ou la vache était-elle simplement dès le départ au nom de son père?
Beaucoup de questions qui restent floues.
Sans parler du volet viticole de ses problèmes, je trouve triste pour la fédération d'élevage et les propriétaires d'Hérens honnêtes d'en arriver à de tels problèmes. En portant pour la première fois de l'histoire des reines une broutille devant les tribunaux, ces propriétaires précipitent tout un monde dans l'absurdité et en pourrissent l'essence même.
Et pourquoi?
Pognon, pognon, pognon.
C'est absurde et pathétique, ça discrédite tous les propriétaires qui bossent toute l'année tant bien que mal pour le plaisir d'une sortie, d'une sonnette, d'un moment de partage dans la communauté de la race d'Hérens.
Depuis que les caméras sont entrées dans l'arène, l'Hérens subit le narcissisme politico-entrepreneurial de quelques jet-setteurs à souliers brillants.
Mais les caméras ne sont présentes qu'à un seul rendez-vous, et la saison est très longue depuis le mois de mars jusqu'au mois d'octobre au comptoir. On a vite fait de reconnaître le passionné de l'égocentrique dans ce monde là.
Parce que lorsqu'il s' agit de tenir un licol et de marcher dans la m**** ils sont déjà beaucoup moins nombreux les souliers brillants...
bref, j'espère simplement que le fric ne pourrisse pas cette activité, même si pour certains bipèdes la façon importe peu, pourvu qu'il y ait profit.
